Ce sujet est très grave, à aborder après méditation et OOOO-MMMMM (en rythme c’est mieux, entraînez-vous) (vous pensez que vous n’êtes là que pour rigoler ? z’avez tout faux) Ce post est très important, il est même capital, je referme mon blog après l’avoir édité… (comment ça vous êtes ravis ?)
Donc je vais être brève, cela va vous changer (croyez-z-y) : je n’aime pas les frites et les filles non plus d’ailleurs si je m’en réfère au passé (elles ont changé de goûts depuis, je suis perdue entre ce qu’elles aiment ou non)… (je vous avais prévenus que c’était capital et que je faisais un post très important)
Le passé c’est moi avec Albert et les deux pastèques, puis moi toute seule avec les mêmes (suivez), en visite chez des amis ravis de leur annoncer qu’il y avait pour elles du steak haché ET des frites, et pour moi du caviar et du saumon fumé (avec du champagne).
Je constate avec consternation que je ne vous ai pas parlé du steack haché et que donc, je vais être obligée de m’étendre sur le sujet, moi qui aime à être concise…
Je déteste la viande rouge, hachée c’est encore pire, puisque Jean Poirotte la boulotte comme cela toute crute en se faisant un steak tartare, et c’est l’horreur (pour moi en tous cas, rien que de le voir boulotter, j’ai mangé pour 4 jours et on s’étonne que je dépérrrrisssse) (et je n’aime pas la consistance du steak haché, ni la viande de boeuf, crute en plus je n’ai jamais voulu essayer, je suis certaine de tomber dans les poires).
Donc je me dois d’avouer à tous mes lecteurs que je n’ai pas élevé mes filles dans le culte de la viande crute ou saignante, dieu m’en garde et que la force soit avec moi, mais je préfère le poisson (comment ai-je pu survivre jusqu’à un âge aussi avancé ?).
Alors évidement ces pauvres petites puces que j’adore, arrivaient un beau jour chez des barbares pour qui la viande hachée vaguement passée à la poële représentait le top du top AVEC DES FRITES.
« C’est quoi des frites maman ? » fut la question que me posa un jour Delphine pour me flanquer bien la honte devant tout le monde : elle aimait bien manger et goûter du nouveau cette bibique, elle avait 4 ans et je ne lui avais jamais fait de frites.
Je déteste les frites et la friture en règle générale (sauf celle de poisson, la petite friture de gardons). La friture je la mange pendant environ 4 jours, ma vésicule ne doit pas aimer… Sinon pour la cuisiner pour les autres (je suis tolérante), j’ai une vision horrible de la bassine d’huile bouillante se renversant sur une de mes puces, sur moi, sur le chat : plutôt mourir. Donc, pas de frites, pas de friteuse, pas d’huile bouillante chez moi (je suis tolérante avec des limites : pas de friteuse chez moi, les gens vont bouffer de la friture ailleurs).
Comme elles n’ont pas été élevées à la frite, forcément elles ne la digèrent pas ces petites biches. C’est normal. Elles savent qu’elles me doivent de ne pas avoir été greffées de la moitié du corps pour cause de brulures graves à cause de renversement de friteuse que je n’avais pas (pour ceux qui n’auraient pas suivi)
Où veut-elle en venir et où est le problème ?
Testez le « je n’aime pas les frites« et vous comprendrez que la vie n’est qu’un long calvaire (je ne vous parle même pas du steak haché, là c’est le goulag mérité), devant l’air ahuri de vos hôtes, du serveur au restaurant, ou n’importe qui d’autre.
Je répète : la vie n’est qu’un long calvaire (et le cuisinier secoue les nouilles, je répète…, et les nippons sont cause du soulèvement de la Chine, je répète (non je n’ai pas été dans la résistance pourquoi ?)
Enfin bref, tout ça pour vous dire que je ne n’aime pas les frites, c »est nul. Mais bon quand on est française c’est un débat important dans la mesure où le plat nationnal est le steak frite pour faire rapide, parce qu’entre la choucoute de l’est, le poisson de l’ouest, l’oie gavée du sud ouest, la tarte au sucre et la tourte aux poireaux du nord, l’olive du sud est, son anchoïade, avec ses 13 desserts y’avait du mourron à se faire pour le plat national, et je ne vous parle même pas du fromage, la bouffe française étant un post à venir (je suis désolée d’en avoir oublié naturellement, je réalise que j’ai ommis la fondue savoyarde, la potée et l’escargot de bourgogne + un millier de plat…)
ET puis bon c’est mon blog et l’endroit idéal pour dire QUE JE DETESTE LES FRITES ! (Je déteste aussi la cervelle et les épinards, mais sur ce coup là je pense que j’aurais plus d’adeptes…)
Oui je sais, ce post est nul et je suis une emmerdeuse. Et alors ? Je dis ce que je veux NA ! ET J’AIME PAS LES FRITES ! Et j’en ai marre qu’on me les propose avec tous les plats et que quand je dis NON on me les propose SANS SEL ! (la friture sans sel c’est pire que tout ! car je mange tout de même du frit chez un chinois (limite) ou de la petite friture que papa ne pêche plus (Albert reviiiiennnnns !) (non je rigole))
Vous avez tout compris, j’ai fait il y a peu un restau où l’on a faillit appeler l’hôpital psychiatrique le plus proche parce que je ne voulais pas de frites. Ni de viande rouge non plus d’ailleurs (testez le « je n’aime pas la viande » pour voir à quel degré de tolérance on en est), même pas hachée (option proposée dès fois que mon dentier se débine…) Non monsieur je n’aime pas la viande de boeuf, même hachée, même trop cuite, je veux de l’andouillette (il n’en avait plus, d’où son insistance à me faire la promotion de sa côte de boeuf qu’il était prêt à me hacher sous le nez, mais moi j’aime bien le porc)
Et en plus pour couronner le tout, je n’aime pas le café non plus. Même décaféiné, merci, c’est le goût du café que je déteste (je dépiste une goutte dans un litre d’eau, mes proches ont testé). C’est la tare la plus absolue, une panne de machine à café me laissant de marbre au boulot, alors que 35 personnes peuvent se rassembler pour chercher d’où vient le problème…
La vie n’est qu’un long calvaire (ne comptez pas sur moi pour vous faire de la cerveille frite).
Et vous, vous avez un truc particulier qui fait que l’on vous regarde avec un oeil torve quand vous précisez « je n’aime pas » ?