Utiles précisions…

Dans mon post sur les enquêtes (et il y en a d’autres à venir sur le même sujet), mon propos était juste de souligner de quoi sont capables les femmes, isolées ou en groupe, lorsqu’elles veulent enquêter sur leur Jules en cas de doutes. Généralement à posteriori, c’est assez marrant…

En aucun cas il n’était question pour moi de débattre des responsabilités d’Albert ou de sa copine : qui était le plus responsable de la séparation était hors sujet en ce qui me concerne.

Je précise tout de même que je sais parfaitement que certaines femmes se font piéger par des menteurs de première, pour avoir été victime de l’un d’eux un jour, qui profitait du fait que sa femme était en tournée pour deux mois et demi. La chute fut rude…

Mais j’ai sû également très rapidement après le départ d’Albert, qu’il avait quelqu’un. Ceci par des amis communs qui l’avaient rencontré avec elle chez d’autres amis communs. Eux ignoraient qu’il ne serait pas là avec moi, et ne savaient rien de notre séparation. Cela les a ulcéré et vexé comme pas possible (d’ailleurs ils ne l’ont jamais revu après).

C’est eux qui m’ont relaté donc, et ça fait toujours plaisir, qu’Albert la connaissait depuis des mois. Elle s’est très largement vantée d’avoir eu du mal à lui mettre le grappin dessus. Qu’il ait femme et enfants, elle s’en fichait. Comme il renaclait à tout casser, elle a usé des grands moyens, quitté son mari et son fils pour s’installer seule au son de « sans toi ma vie ne vaudra plus rien, je n’ai qu’à mourir ». Albert avait du charme et de l’argent (l’argent pas en me connaissant, il ne pouvait donc pas m’accuser d’avoir été intéressée), et c’était visiblement une personne très attachée au vison et à la bague qu’il lui avait offerts…

Albert n’avait certes pas à se laisser faire et pouvait partir en courant, mais je ne pouvais nullement la considérer comme étant innocente.

Lui passer un coup de téléphone totalement anodin car je suis restée très correcte, avait pour seul but qu’Albert sache que je savais avec qui il était et où il demeurait. Ceci dans le cadre d’une procédure de divorce qui devenait très conflictuelle.

J’ai regretté par la suite, quand elle s’est montrée infecte avec les filles qui font qu’elles la détestent toujours, essayant de séparer leur père d’elles, et manquant de peu de réussir, de ne jamais lui avoir téléphoné pour cette fois lui dire le fond de ma pensée…

Maintenant si l’espionnage intensif de nos Jules en cas de pépin réveille chez vous de mauvais souvenirs, je préfère passer à la catégorie « champignons de nos campagnes » (non encore créée) ou bien vous refaire l’intégrale de la guerre de 100 ans… (je n’en veux à personne du tout, mais il faut parfois savoir changer de sujet…)

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