Eux aussi en ont fait de belles…

Ce n’est pas le tout de rigoler des perles du bac de nos chères têtes blondes et cultivées, mais certains en font de belles aussi…

Les profs :

  • Vous survolez le problème à grandes enjambées (le marcheur du pôle)
  • Au gymnase, a botté à tour de bras le derrière de son camarade (l’acrobate)
  • A du mal à entendre car il serait sourd (comme ce n’est qu’une hypothèse : 0/20)
  • Cette oeuvre mérite zéro, et encore, je suis généreux (Harpagon)

Avec de l’humour :

  • Fais des efforts méritoires pour se rapprocher du radiateur (l’ancien cancre attendri)
  • Des lacunes dans l’ignorance (damned !)
  • Déserte parfois le café pour assister aux cours (on ne peut se fier à personne)
  • Au moins, ne ronfle pas… (c’est toujours ça de pris)

Un auteur : Ponson du Terrail, qui a brillé particulièrement :

  • La marquise allait enfin s’expliquer, quand la porte en s’ouvrant, lui ferma la bouche. (C’est beau le modernisme)
  • Sa main était froide comme celle d’un serpent (le mutant)
  • L’homme avait 95 ans et il en paraissait le double (voire même plus)
  • D’une main il leva son poignard et de l’autre il lui dit (la main qui parle ou le retour du mutant) (coucou Louisianne !)
  • Quand il se releva, il n’était plus qu’un cadavre (du coup, ça lui a scié les jambes)
  • Son coeur battait avec violence en faisant sonner le timbre de la porte (la vie n’est qu’un long calvaire)
  • Le comte était vêtu d’une élégante veste de velours et d’un pantalon de même couleur (c’était un homme de goût)
  • On eût dit que sa paupière dilatée avait le don de voir (comme celle du serpent…)

Et d’autres auteurs…

  • Jacques n’ayant pu digérer l’épingle du papillon fut atteint d’une perforation de la péritonite (Alexandre Dumas) (Pauvre garçon, comme il a dû souffrir !)
  • Guillaume est un garçon honnête, mais qui ne s’est jamais aperçu que son coeur lui servit à autre chose qu’à respirer (Alfred de Musset) (Reprenez votre souffle, hauts les coeurs !)
  • Enfin, mettant la main sur ses yeux, comme des oiseaux qui se rassurent (Prosper Mérimée) (… en se grattant l’oreille avec l’horrible culaire sans doute…)
  • Un commissaire de police répond silencieusement « elle n’est point folle » (Honoré de Balzac) (Un homme qui savait s’exprimer, enfin un !)
  • Il reçut pour sa fête une belle tête phrénologique toute marquetée jusqu’au thorax (Flaubert) (On n’ose songer au buste offert pour la même occasion…)

Evidemment, on en oublie…

La guerre des frites aura-t-elle lieu ?

photophore-copierJ’ai déjà abordé mon problème personnel avec tout ce qui est fritures, et pour moi la puanteur qui va avec.

A tel point d’ailleurs, que depuis fort longtemps, je n’ai même plus de friteuse chez moi, à une époque cela tombait bien, les filles étant les rares enfants que j’ai connus à ne pas aimer les frites, et moi n’y tenant pas plus que ça.

Pour moi l’odeur s’insinue partout : dans les cheveux, les vêtements, j’ai l’impression d’être une frite géante quand j’ai assisté à la préparation de fritures multiples, celle des crêpes ne faisant pas exception à la règle.

D’ailleurs quand je fais des crêpes, je couvre mes cheveux, pour n’avoir à laver qu’un foulard, et non pas mes cheveux ou la taie d’oreiller si je me suis laissée aller…

Rentrant chez moi quand les parents ont fait des frites,  je mets mes fringues dans le lave linge, et je me lave entièrement pour me débarrasser de l’odeur.

Mes parents se sont mis dans la tête que c’était dans la mienne (de tête).

L’avant avant dernière fois qu’ils ont fait des frites, j’étais là pour le dimanche, avec ma soeur qui n’est pas comme les autres. En voyant maman sortir la friteuse, j’ai fais une petite grimace que je croyais discrète et Mrs Bibelot agacée à précisé à Jean Poirotte « tu sais bien que c’est une fixette chez Coraline, l’odeur de friture ».

Comme si j’étais du genre à faire des fixettes… Sauf que quand un voisin fait de la friture, cela m’insupporte, via les gaines d’aération…. Le lendemain, comme cela persiste, je lave les serviettes de toilette, mises justement le jour des frites… Parce que vu la manière dont les appartements sont disposés, dans ma salle de bain et mes WC, les gaines sont communes avec les cuisines de l’autre côté…

On va piéger Coraline. Et au passage, lui prouver qu’elle fait une fixette liée au mot « friture ».

Comme je vais prendre le thé avec Mrs Bibelot tous les après midi, j’arrive chez mes parents environ 2 H 30 après la préparation du repas.

Donc l’avant dernière fois, en ouvrant la porte de leur cuisine, une odeur de friture m’a instantanément sauté au nez, comme un coup de pieds aux fesses. Pas de friteuse en vue, mais on ne m’aura pas, comme avec le café (j’en détecte une goutte dans un demi litre d’eau, test fait et approuvé par mes collègues ingénieurs de chez Truchon).

Je prépare tout pour le thé, maman se lève de sa petite sieste. Elle empeste la friture et à mon affirmation « vous avez mangé des frites ce midi ! », me répond « oui » d’un air contraint zut alors elle l’a senti, rien à redire.

Au moins elle est honnête. Elle avait planqué la friteuse sur la terrasse du jardin, que j’irais d’ailleurs récupérer pour engraisser les rosiers (jardin écolo/bio).

Bon, on n’a pas pu m’avoir avec la friteuse planquée, on va essayer un autre truc.

Planquer la friteuse, ET…

Donc, la dernière fois que mes parents ont fait des frites, en douce de moi bien sûr :

  • Je suis arrivée pour préparer tout pour le thé, et une odeur de friture et de papier d’arménie + bougies parfumées + encens, m’a sauté au nez comme un coup de pied aux fesses.
  • Deux bougies parfumées étaient traîtreusement dissimulées sur le plan de travail et cela m’a fait sourire.
  • Aucune friteuse en vue et je n’ai pas cherché d’ailleurs. Mon nez m’était fidèle, ils avaient fait des frites.
  • Maman s’est levée en sentant : l’aqua Allegoria de chez Guerlain à fond la dose même dans les cheveux + friture
  • A mon affirmation « vous avez mangé des frites ce midi », elle m’a répondu, toujours honnête mais consternavrée mais comment fait-elle ? « OUI ».
  • La friteuse était planquée dans le coffre de la voiture de papa, au cazoù que j’appuie mes prétentions olfactives sur une simple vision de friteuse ayant servi.

Moralité :

  • Il est désormais acquis que mon odorat concernant les frites ne sera plus remis en cause et en parallèle avec une quelconque fixette de ma part.
  • Il leur reste à tester le Fébrèze ou du même genre et à écrire à la firme que c’est scandaleux mais que cela ne marche pas.
  • Les sièges de la voiture de papa puent la friture, ce n’est pas demain la veille que je vais aller à la déchèterie avec…

La vie n’est qu’une frite géante qu’un long calvaire.

PS : tout à coup, en terminant ce post, je me demande pourquoi diable Mrs Bibelot a ressorti d’un placard, ses deux photophores…

Peintre, et vocation contrariée… (les artistes sont des incompris !)

chapelle-sixtine-vocationQuand que j’étais petite il y a longtemps, j’avais une âme d’artiste.

J’adorais les couleurs, ça, vous le savez déjà. (ICI) (Si cela marche…)

(A priori, cela marche, Dieu bénisse l’Amérique Sainte Pulchérie)

A l’époque (et en avant la Madeleine pour certains), la majorité des papiers peints n’avaient pas le fini vernissé qu’ils peuvent avoir maintenant, et n’étaient pas lessivables.

Lorsque nous habitions notre grand ensemble, au départ, mes parents avaient réservé la chambre donnant sur du calme « aux enfants », et avaient pris l’autre, moins calme, donnant sur la rue.

La chambre d’enfants était ornée d’un magnifique papier peint avec mes favoris de Disney sur fond bleu pâle. Quand on mouillait le papier les couleurs ressortaient beaucoup mieux, c’était plus joli.

Comme nous n’avions pas le droit d’emmener une cuvette d’eau et une éponge dans la chambre (on se demande bien pourquoi), nous faisions ce que beaucoup d’enfants ont fait pendant longtemps : nous mouillions le papier avec nos langues.

D’où sans doutes l’expression « lécher les murs »… Ca nous occupait pas mal, pendant ce temps là nous ne faisions pas d’autres conneries.

Mes parents qui avaient fait de même avant nous (ils nous l’ont avoué des années plus tard), s’opposaient malgré tout à ce que nous fassions ressortir les couleur. Nous parler d’auréoles disgracieuses qui restaient une fois le papier sec, c’était comme pisser dans un violon pour faire de la musique : totalement vain.

Le problème fut partiellement résolu avec un changement de chambres : les gosses au sommeil de plomb sur la rue, et les parents au sommeil moins de plomb, sur le calme. Les Disney et leurs auréoles furent recouverts d’un papier neutre et lessivable, alors que nous nous contentions d’un papier assez moche dans l’autre chambre. Le truc de base, livré avec l’appartement neuf…

Jaunasse avec des dessins vaguement blancs qui ne ressemblaient à rien. En léchant le jaune devenait plus vif mais c’était insuffisant.

D’où l’idée un jour de faire des dessins sur les murs. L’ampleur de la tâche proportionnelle à la taille des murs, ne nous fit pas peur, et armés de nos trois boîtes de crayons de couleur, nous avons commencé des chefs d’oeuvre, pour nous décourager rapidement.

3 maisons, 3 soleils, 3 prairies plus tard, il devint évident que nous allions manquer de temps pour orner TOUS les murs.

Ma soeur et mon frère décidèrent de gribouiller dans leur coin, et moi dans le mien, parce que j’étais l’aînée et que mes gribouillages étaient plus jolis que les leurs.

Ils se contentaient de grands coup de crayons rapides, pendant que de mon côté je faisais de magnifiques circonvolutions, cercles croisés et gribouillages réfléchis, dans lesquels apparaissaient fugitivement des animaux fantastiques dont j’avais l’idée de les colorier entièrement, après…

Après quoi, je n’en sais rien, mais après, ça c’était sûr. J’avais repéré un chat à 5 pattes, 2 dragons et trois dinosaures, et j’ai commencé à remplir le chat avec le crayon violet quand tout à coup, bruit de pas dans le couloir et la voix de maman qui nous a tétanisés (je l’entends encore)

  • Que faites vous les enfants ? je ne vous entends pas ! (bonne question, toujours aller voir quand on n’entend pas les enfants…)
  • Ouverture de la porte
  • KRIKITU : AH MON DIEU !

Confiscation des boîtes de crayons de couleur. Mercuriale et privation de dessert pour deux jours.

En rentrant le soir, papa alla contempler les dégâts en dissimulant (nous l’avons su trop tard), une véritable envie de rire. A mes propos indignés, parce qu’on éduquait tout de même les enfants à l’époque, un peu mieux qu’aujourd’hui, et que l’on essayait déjà de nous cultiver, il rétorqua que le pape n’avait pas du tout l’intention de faire repeindre à nouveau la chapelle sixtine et que ce vaste projet devait sortir de mon cerveau illico presto.

Et qu’en plus, les dragons n’existaient pas plus que les chats à cinq pattes (consternation).

Une enquête fut ouverte pour savoir qui avait eu l’idée saugrenue de me montrer les fresques de Michel Ange, en précisant qu’elles avaient bien besoin d’être restaurées (ce qui fut fait, des années après). Mon grand père paternel plaida coupable en précisant qu’il faut savoir vivre dangereusement, et qu’une vocation est une vocation.

Du coup, les boîtes de peintures furent supprimées également, nous ne pouvions plus nous en servir que dans la cuisine (lessivable), sous les yeux de maman en train de repasser.

Comme pour moi c’était la Chapelle Sixtine ou rien, j’ai renoncé à la peinture.

Et je n’ai appris que bien longtemps après, avec mes deux filles, à quel point il est parfois difficile de garder son sérieux et prendre un air sévère devant certaines conneries de gosses.

Quand nous avons déménagé longtemps après, les gribouillis étaient toujours en place, un peu pâlis par le temps…

La vie n’est qu’un long calvaire…

Quelques perles du bac 2009 (je radote de rire)

Je n’allais pas m’arrêter en si bon chemin, vous l’imaginez bien…

En plus, Pulchérie m’a fait il y a quelques temps, remarquer  que j’avais plus de 360 brouillons à gérer, alors du coup, je trie, et je poste un peu au bonheur la chance…

Là encore, les commentaires sont de mon cru, on s’amuse comme on peut.

  • Noé et son arche se sont échoués sur le mont Arafat. (Pas loin, presque bon, et l’autre de se prendre l’arche sur la tronche, ça ne lui a pas trop réussi. J’aurais voulu voir un instantané du moment X d’ailleurs)
  • Moïse appela Dieu qui sortit d’un nuage et lui dit : Qu’est ce que tu veux ? (Voir Dieu et mourir…)
  • Un non-voyant est quelqu’un qui est borgne des 2 yeux. (Et un sourd est borgne des deux oreilles ? Et un eunuque est borne des deux couilles ?)
  • Comme Bonaparte, Jules César pouvait dicter plusieurs lettres à la fois, c’était un dictateur. (J’ai eu peur, j’ai cru qu’ils avaient inventé le dictaphone)
  • Henri IV avait du succès avec les femmes, mais il évitait les préliminaires car il sentait l’ail. (Celui là, il a au moins vu « La reine Margot », car je doute que ce genre de précision soit donnée en cours d’histoire)
  • François 1er était le fils de François 0. (Lui-même fils de François -1)
  • Même les plantes éprouvent du plaisir au moment de se reproduire. (D’ailleurs elles crient : c’est à boire qu’il nous faut !)
  • Les femmes font moins d’enfants parce que c’est chiant. (Chier une pastèque n’a rien d’attrayant, je le lui accorde)
  • Un septuagénaire est un losange à sept côtés. (Et un octogénaire un carré à 8 côtés)
  • Les seules différences entre l’homme et la femme sont les seins et le sexe. Et encore. Il existe des femmes qui n’ont pas de poitrine. Certaines femmes n’ont pas de seins. Le sein est un organe facultatif. (On sent la déception)
  • Les femmes produisent des œufs, mais pas du tout comme les vrais œufs. (Loupé pour se faire des oeufs sur le plat, à 2 H du mat, en douce des parents…)
  • Quand l’enfant naît, il pousse un grand cri, comme Tarzan dans la jungle. (D’où une baisse de la natalité et l’insonorisation des salles de travail…)
  • Les ouvriers Japonais commencent leur journée de travail en hurlant des slogans comme: japonais un jour, japonais toujours. (Nous c’est « mort aux vaches », chacun son calvaire)
  • Déjà avant guerre, Mercedes fabriquait des Volkswagen. (Certaines firmes font vraiment n’importe quoi)
  • Avec l’élaboration des séries statistiques performantes dans des domaines variés, on peut conclure que l’avenir est proche. (Ca pour être proche, il est proche. D’ailleurs demain est un autre jour, et la seconde à venir est morte avant que d’avoir eu le temps d’exister, on ne peut compter sur personne !)
  • Une ligne droite devient rectiligne quand elle tourne. (A expliquer aux flics quand on a loupé un virage)
  • Un carré, c’est un rectangle un peu plus court d’un côté. (Nettement plus court parfois, décidément, la géométrie est traitre)
  • Le roi de France est sacré par un homme en robe de chambre avec un chapeau pointu. (Pauvre mec qu’on a tiré du lit…)
  • Napoléon est mort guillotiné, Bonaparte aussi. (D’ailleurs nous avons quelque part, deux squelettes sans tête : celui de Napoléon, et celui de Bonaparte, peut-être même un troisième, petit,  avec tête : celui de Napoléon/Bonaparte enfant)
  • Une tonne pèse au moins 100 Kg si elle est lourde. (Pourtant une tonne de 100 kg, c’est léger, surtout s’il s’agit de papier…)
  • Les lesbiennes se donnent rendez-vous sur des pelouses. C’est pour ça qu’on dit qu’elles aiment le gazon. (Encore un amateur de cinéma, il aurait tout de même pu nous expliquer le pourquoi du comment des pesticides qui font d’un gazon, un gazon maudit…)
  • Avorter le lendemain d’un accouchement n’est pas recommandé. (Faut tout de même vérifier que la femme a bien accouché)
  • Avant la guillotine, les condamnés à mort étaient exécutés sur une chaise électrique. (Encore des gens mis au courant d’une invention barbare)
  • En 1947, l’Inde est divisée en deux : l’Inde et la Palestine. (On soupire : cela aurait pu être l’Afrique du sud)
  • Au moyen-âge, les lieux de pèlerinage sont la peste, la famine et la guerre. (Bref, une époque formidable !)
  • Plancton était un célèbre philosophe grec. (Qui a eu pour fils Jonas qui lui, fit un bref passage dans le ventre d’une baleine)
  • La plupart du temps dans les nuages, n’en redescend que sous forme de perturbation. (Dieu ?)
  • Lénine et Stallone. (Les orgues de Stallone sont bien connus !)
  • Les spermatozoïdes sont des cellules armées de fouets. (Et ils guettent l’ovule au carrefour de la trompe au son de « arrive pauvre con, je t’attends de fouet ferme !)
  • Chaque mois, les filles ont leurs mensurations. (C’est parce qu’elles ne sont jamais contentes, qu’elles remettent cela tous les mois)
  • L’oxydant chrétien. (C’est vrai que cela s’oxyde un peu, le temps passant…)
  • II fut condamné après un procès en bonnet de forme. (Je m’insurge, c’est en bonne uniforme, la comptable de chez Truchon l’a dit)
  • Le zophage débouche dans l’estomac et l’intestin débouche dans les WC. (Là je pense qu’il l’a fait exprès, car ses carottes étaient cuites)
  • Plus un pays est chaud, plus il est moins développé, froid moyennement développé, très froid, développé. (La civilisation plus que moins développée se trouvant donc plus ou moins, au pôle sud ou nord, ne soyons pas racistes)
  • La meilleure pièce de Molière est « L’Ami Zantrope ». (Y’a de l’idée)
  • La ville de Rome a été fondée longtemps avant Jésus par les Romanichels. (On les remercie encore !
  • Lors de la guerre froide, il faisait très froid. (D’où l’origine du terme « guerre froide », même plus d’étés qu’on n’avait plus)
  • La France s’est fait prendre par l’Allemagne. (C’est vrai, et profond en plus)
  • Hitler a choisi d’attaquer Stalingrad, et c’était son dernier mot. (C’était le mec borné quoi…)
  • Jamel Debbouzze et Faudel ont été deux acteurs majeurs de la décolonisation en Afrique subsaharienne. (On en apprend tous les jours !)
  • En mai 68, la principale occupation des jeunes était le lancer des pavés. (Maintenant ils brûlent des voitures, on ne sait que choisir entre les occupations préférées des jeunes…)