Je viens vous chanter la baLLade……. (pfuit !)

6222-000049Mon amie Louisiane m’a reprise fort justement, parce qu’en ce moment je suis très fâchée entre cours et cour.

La cour chez mes parents, et les cours que je peux donner à mes neveux qui m’en seront éternellement reconnaissants (c’est tout à fait cela, je peux toujours y croire).

Je ne suis pas spécialement concernée par le court de tennis parce que le sport à la TV c’est vraiment bof pour moi.

La langue française est horrirrifiante, et c’est d’ailleurs parce qu’elle n’est pas assez abominafreuse que j’aime à inventer des mots à rajouter (dont j’ai le copyright exclusif, ne rêvez pas…).

Delphine un jour, indignée, m’avait demandé pourquoi héros prenait un S alors qu’on ne dit pas une hérosine, mais une héroïne. Il faut dire que depuis plusieurs mois la maîtresse qui faisait ce qu’elle pouvait, expliquait les mots en précisant, au hasard « lait prend un T pour préparer laiTerie… ».

Pour le coup du héros je manquais de munitions (si vous en avez, n’hésitez pas…)

Pourtant je rêve en moi-même et très discrètement, d’être un jour le maître Capello de mon blog (là encore, je peux toujours y croire).

J’ai résolu par contre, après avoir bien discuté avec moi-même parce que je me contrarie très peu, le problème de la ballade ou de la balade.

HA HA HA ! (ricanement sardonique pour ceux qui n’auront pas compris).

Ma méchante (fille ainée pour ceux qui débarquent) elle-même précise qu’elle ne se souvient jamais…

MAIS, j’ai trouvé un truc. Il en faut toujours un.

  • Donc : la balade, celle qui concerne le fait de se promener en musant, décontracté, tout ça, c’est la promenade, la balade avec un seul L, parce que l’on peut la faire tout seul.
  • Et par conséquent, la ballade, celle que l’on écoute, et bien même si on l’écoute également tout seul, il a bien fallu un compositeur pour la mettre au point. Donc au bout du compte, on est forcément deux. Donc il faut deux L.

C’est tout pour aujourd’hui, parce que la vie n’est qu’un long calvaire (et je plains les étrangers qui apprennent notre langue parce que ce n’est pas de la tarte !!!)

Le choix des prénoms…

Nous avons vous avez désormais le droit depuis un petit moment, de choisir le prénom de votre enfant, sans que l’officier de l’état civil ne puisse s’y opposer.

C’est un progrès. Une de mes amies voulant appeler sa fille « Maéva » a dû ratisser je ne sais où pour que le père puisse prouver à l’officier d’état civil de Rambouillet, chiant comme pas possible, que « Maéva » existait bien.

Désormais l’enregistrement du prénom doit se faire, l’officier d’état civil pouvant tout de même signaler au procureur de la République tout prénom donnant un mauvais jeu de mots avec le nom patronymique ou carrément ridicule.

Le procureur tranche : il n’a que cela à faire.

Mais chaque progrès a son revers. Depuis quelques années, c’est la course au prénom le plus fantaisiste qui puisse être. Les parents veulent à tout prix être originaux, et j’ai parfois l’impression qu’ils ne se rendent pas compte que le gamin va se trainer son prénom toute sa vie.

Je passe sur les méchants jeux de mots :

  • Claire RIVIERE (ce n’est pas trop moche)
  • LACOURT Martial (faut le faire)
  • MICHEL Michel (c’est malin)
  • Jean PILLAY (je me gausse)
  • ETC

Suivant d’une oreille distraite 100 % Mag (oui on se lasse, alors on blogue en écoutant d’une oreille distraite), j’ai entendu les pires prénoms qui soient. Même pas que je m’en souviens d’ailleurs. Entre Albert regardant avec quoi cela rime (Valentine pas question et en plus c’est la marque d’une peinture), et ceux qui font du grand n’importe quoi, il y a un gouffre !

Truchon et sa femme étaient passés maîtres dans ce truc. Le fils aîné s’appelait… Jamais pu retenir ce prénom connu d’eux seuls. Sauf que le gamin dès ses 6 ans, refusa de répondre à l’appel de la forêt à ce prénom abominable et que les parents se résolurent à se rabattre sur le second prénom (Joffrey, c’était acceptable pour le gamin). La cadette s’appelait Othylie : féminin d’Oton (je n’ai pas l’orthographe exacte). Idem, elle préféra le « Gisèle » lui venant de sa marraine, dès sa dernière année de maternelle. J’ai quitté Truchon qui persistait et signait, trop tôt pour savoir comment la troisième « Azilis » (pas trop moche faut le reconnaître) a réagit un beau jour, en apprenant que son frère et sa soeur avait pratiqué la guerre du prénom.

Je n’aime pas critiquer (surtout pas !). Je savais déjà par un sketch de Mimie Mathy que le couturier Courège avait appelé sa fille « Clafoutis ». Elle précisait d’ailleurs qu’heureusement pour la gamine son père n’aimait pas particulièrement la tarte aux pommes ou le baba au rhum…

Pourquoi pas « gâteau de riz » aussi ?

J’ai des voisins dont les deux fils : Clovis et Clothaire, ont également pratiqué la guerre des prénoms. Maintenant c’est Pierre et Olivier…

Et un jour, en écoutant donc 100 % mag, j’ai appris que des parents avaient jugé bon de baptiser leur fille « Thérébentine ». Le cadet héritera sans doute de « white spirit »…

Et là, intolérante, je me suis dit que c’était du grand n’importe quoi. Ils y pensent les parents de l’enfant prodige, du calvaire que va être sa vie avec de mauvais jeux de mots, ou du grand n’importe quoi dans le choix du prénom ?

En plus avec cette tendance depuis quelques années, il y a toute une génération qui ne pourra pas tricher sur son âge… Car vous pouvez être certains que les prénoms moins originaux auront un jour à nouveau la cote quand on aura épuisé tout le répertoire celte, hongrois ou chinois…

La vie n’est qu’un long calvaire, surtout pour les porteurs d’un prénom abominable…

PS… Post bug…

Suite à nouvel hébergeur STOP, inutile de m’envoyer des spams STOP, je mets direct dans « trash » STOP, et puis après direct dans « deleete it permanently » STOP

MERDALORS !!!!

Oui parce qu‘EN FAIT, c’est JUSTE CARREMENT pour vous dire que 15 spams par H c’est UN PEU BEAUCOUP TROP QUOI J’VEUX DIRE !!!

PS : « STOP » c’est un petit rappel à nos vieux télégrammes (regardez dans un dictionnaire, oui, je sais c’est sadique)…

LE bug…

Je_hais_l_informatiqueMon premier ordinateur était caractériel et doué d’une intelligence qui n’a jamais manqué de me confondre. Après quelques bugs que j’avais résolus moi-même, j’ai osé demander à l’homme de l’art s’il pouvait éventuellement m’aider dans la misère, ce qu’il a toujours fait depuis. Avant je n’avais jamais osé le déranger, pensant que dépanner en informatique pouvait éventuellement le raser, et c’est Jean-Poirotte qui m’a décidée un beau jour…

Et bien vous le croirez ou non, mon premier ordinateur attendait que l’homme de l’art, auquel il avait eu affaire à son détriment, soit en train de s’en aller vers la Grande Motte pour me faire un caca nerveux.

A vue de calculs comme ça, à vue de nez, à vue de calculs à vue de nez,  l’homme de l’art venait juste de terminer le parcours « massif central » pour que l’ordi ose me faire la crise de nerfs du moment (alors que la veille il frétillait de gentillesse).

Crise de nerf que parfois l’homme de l’art arrivait à juguler en faisant la hot line. Ou  bien j’étais obligée d’attendre son retour pour un changement tout bête de carte graphique (sauf que depuis la dernière panne de carte graphique de l’ordi n° 1, il est apparu que les cartes graphiques qu’il exigeait trônent très certainement dans un musée quelconque)…

Puis il y a eu l’ordinateur n° 2 généreusement donné (la tour + un écran à qui il fallait mettre une baffe pour qu’il affiche correctement, mais seul l’homme de l’art ose donner des baffes, moi j’y vais avec délicatesse et prières s’il le faut).

Celui-la avait vite compris qu’il lui était inutile de faire son malin, depuis sa première et dernière fois où j’étais restée en rade 3 semaines pour un bête faux contact au niveau du port USB. Faux contact que l’homme de l’art avait résolu sous mes yeux horrifiés, en ouvrant le ventre de l’ordi et en le passant à l’aspirateur après l’avoir secoué dans tous les sens…

Mais l’ordi n° 2 donnait des signes de faiblesse depuis que j’avais ma box.  Le haut débit vrai, lui, il n’était pas fait pour ça, et me le faisait savoir.

Après des pérégrinations que je vous raconterai plus tard (si j’y pense) il a été décidé que j’allais changer d’ordi, mais là n’est pas le problème.

Le problème a été l’hébergeur de mon blog.

Ceux qui me suivent depuis un moment, savent que Pulchérie pour mes 50 ans, m’a offert un beau blog tout neuf, qui me permettait de m’affranchir de Canalblo… Mon hébergeur était son cadeau d’anniversaire annuel.

Et bien, l’hébergeur a attendu que Pulchérie soit dans la salle d’attente de je ne sais plus quel aéroport, en partance pour les Maldives, pour décider que tout était database error, enfin, un truc dans le genre. Le truc qui me pétrifie d’horreur quand je le vois s’afficher !

Alors que la veille tout allait bien.

Naturellement j’ai E-mailé immédiatement ma fille qui savait quoi faire, sauf que mes identifiants étaient chez elle… et que jamais nous n’avions abordé la gestion de mon hébergeur par moi-même (fort heureusement, j’aurais foutu l’internet mondial en rade…)

Puis elle est rentrée (et 8 jours c’est long), a bien atterri, et commencé à s’occuper de mon cas.

Sauf que l’hébergeur :

  • S’engageait à répondre sous 48 H JOURS OUVRABLES et qu’elle était rentrée un vendredi
  • Que les informations qui lui ont été données ont été insuffisantes. Elle a pu quelques jours remettre mon blog en ligne, mais moi je n’avais toujours pas accès à mon interface
  • Qu’elle voyait très bien d’où venait le problème mais qu’il était impossible de le résoudre.
  • Que chacune de ses demandes à l’hébergeur prenaient 48 h pour la réponse et qu’une semaine c’est vite passé, en jours ouvrables !
  • Que ma fille est repartie pour NYC
  • Là je dois dire qu’elle a vraiment senti que j’étais au bord de la crise de nerf et qu’elle s’est démerdée un max pour rapatrier l’intégralité de mon blog sur son hébergeur à elle. C’était ça ou se faire rapatrier pour m’enterrer, c’est simple.
  • Avec dans ses archives (ou à la poubelle) environ 3000 mails de sa môman qui n’en pouvait plus…

Tout n’est pas encore vraiment en ordre comme nous le souhaiterions, elle n’aura pas le temps de peaufiner avant juillet, mais bon, l’essentiel est fait.

Il va me falloir attendre pour répondre à chacun et chacune, reprendre mon rythme d’antan avec les « réponses en vrac », écrire ce que j’ai pu noter pour en faire des posts (ma sténo m’a tellement peu servi au cours de ma vie que je n’arrive que très peu à me relire (alors pourquoi sais-je toujours l’écrire ???)), bref, tout est question de temps.

Je n’ai que ça, mais il fallait que cela tombe juste avant les grandes vacances qui sont souvent désespérantes pour les blogueurs…

Je voulais juste en fait, vous dire que la vie n’est qu’un long calvaire, que les ordinateurs sont diaboliques, et les hébergeurs aussi.

Et encore, je vous passe mes déboires avec FB chez qui j’ai ouvert un compte « Calpurnia gentille sorcière », site qui s’est tellement amélioré que je n’arrête pas de me dire que « le mieux est l’ennemi du bien »…

Règlement de compte à OK corral (ou tout comme)… (2)

Dispute 2Je rentre donc à l’heure habituelle, et je vérifie : les clefs ne sont plus sur le cache radiateur…

Impossible de savoir si les l’anglais sont rentrés : quand ils le sont définitivement, la voiture est rangée au garage, après dépose de madame à qui monsieur ouvre toujours la portière (pour qu’elle monte ou descende).

Je suppose qu’ils le sont (rentrés), qu’ils se sont fait ouvrir par un voisin en pensant avoir laissé les clefs dans leur serrure, ont vu le trousseau sur le cache radiateur, bref j’ai un scénario qui se tient…

J’avais tort.

Le temps d’ouvrir ma boîte mail, tout à coup, des bruits de voix pas du tout staïleuuuuu dans la cage d’escalier.

Impossible de résister (mettez-vous à ma place), j’entrouvre discrètement ma porte pour entendre ce qu’il se passe.

Eh bien, cela se passe entre les l’anglais et l’autre au dessus de chez eux, madame GrandMont qui elle aussi me snobait en 1995.

Un vieux contentieux à régler, à n’en pas douter par les échanges qui ont lieu, sans aucun souci de correction et de grandeur :

  • Faut vraiment être idiote pour mettre des clefs dans une boîte aux lettres !
  • Rendez service ! je suis déjà bien bonne de l’avoir fait, j’aurais tout aussi bien pu les laisser sur la boîte (la voisine du dernier étage donc, dont la réplique me laisse perplexe…)
  • Ca ne vous suffit pas de nous avoir fait chier pendant des années avec vos 6 gosses qui faisaient un raffut pas possible ?
  • Et vous, ça ne vous suffit pas d’avoir empesté toute la cage d’escalier pendant des années avec l’odeur de l’alcool à brûler dont votre épouse déjantée usait un jour sur deux pour tout nettoyer ?
  • Nous sommes propres nous madame ! Et je vous interdis d’insulter ma femme !
  • L’alcool à brûler c’est un truc de secte, c’est connu ! Il a fallu l’arrivée de Madame Dabra (comment être dans le coup tout à coup sans avoir rien demandé à personne) qui menaçait de porter plainte pour que vos nettoyages intempestifs cessent d’empuantir tous les appartements !
  • Et l’alcool tout court dont vous planquez les bouteilles dans les poubelles c’est un truc de secte aussi ?
  • Je ne vous permets pas ! Et l’aspirateur passé à 6 H du matin, ça se fait ça ?
  • Et les mômes qui gueulent à tout bout de champ jusqu’à 22 H ça se fait peut-être ? des mal élevés que c’était…
  • Je vous emmerde, moi je n’ai jamais fait descendre mon mari et mes gosses pendant que je faisais le ménage pendant 3 heures, ni mis la sono à fond.
  • Vous faites bien de parler de notre sono, c’était pour couvrir votre télévision infernale…
  • Etc…

La porte d’en dessous s’ouvre. Ma voisine monte discrètement et me demande si c’est souvent comme cela. Je la rassure, c’est la première fois… J’avais entendu dire par mon ancienne voisine de pallier que ces gens très chics ne se disaient qu’à peine bonjour depuis très longtemps, et là, je perçois le pourquoi du comment.

Les l’Anglais étaient bien partis avec deux trousseaux, donc ils ont pu rentrer chez eux, avant de commencer leur enquête pour savoir si quelqu’un avait vu l’autre trousseau, car problème : ils ont égaré la deuxième clef de la boîte aux lettres.

Des gens si chics et si soigneux…

Je sais que l’on va sonner chez moi à un moment ou à un autre, et j’ai eu le temps de peser le problème pour trouver une solution.

  • Madame GrandMont en descendant chercher son courrier à vu le trousseau sur la boîte de ses voisins détestés. Ravie, elle l’a laissé en place, alors que normalement la recrudescence la terrorise.
  • En repartant pour son tour de l’après midi (généralement juste après moi, si je suis en retard je tombe sur elle) elle a vu le trousseau sur le cache radiateur, sachant très bien à qui il appartenait.
  • Elle l’a pris, et mis gentiment dans la boîte à lettres.
  • Sans doute savait-elle, après avoir écouté, l’oreille collée à la moquette, qu’il manquait au couple détesté une clef de boîte à lettres et a-t-elle jubilé.
  • Je ne vois que ça…

Je confirme à Monsieur l’anglais qui semble connaître mon emploi du temps sur le bout des doigts, que j’ai trouvé leur trousseau sur la boîte à lettres, que je l’ai posé sur le cache radiateur de la seconde entrée, que malheureusement je n’avais pas de papier sur moi pour leur laisser un message, et que je n’y comprend rien. Tout en lui glissant au passage que je suis vraiment désolée de m’être mêlée de ce qui ne me regarde théoriquement pas.

Tout à coup il a un staïleuuuuuu très moderne.

C’est cette connasse de madame GrandMont qui a mis les clefs dans leur boîte, cette salope l’a fait exprès c’est certain, on n’a pas idée à moins d’avoir des neurones flingués par l’alcool de mettre des clefs dans une boîte à lettres qu’on ne pourra plus ouvrir, d’ailleurs depuis 1964… Il va TOUT me raconter (au secours !)

Fort heureusement mon portable sonne (merci Delphine !)

J’ai juste le temps de lui suggérer (nous sommes le samedi) :

  • De guetter le facteur lundi : il a une clef pour ouvrir la totalité des boîtes pour y déposer les colis (ce qu’il ne fait jamais, il est plus rapide pour lui de mettre les colis SUR l’ensemble des boîtes et de signer à la place du destinataire)
  • De se procurer un aimant assez fort à mettre au bout d’une ficelle pour partir dans sa boîte, à la pèche du trousseau manquant. Son regard s’illumine, c’est l’idée qu’il va retenir.

C’est l’idée qu’il a retenue. Le voisin d’en dessous, qui n’est là que depuis un an et qui visiblement s’emmerde régulièrement, s’est fait une joie de lui prêter un aimant et de le laisser se dépatouiller avec en lui donnant plein de conseils.

Monsieur l’Anglais en a eu pour une heure… Puis il est parti faire faire un double de sa clef de boîte (il était temps…)

C’est la voisine du dessous, croisée le lendemain comme je partais déjeuner chez mes parents qui m’a tout raconté. Elle en rigolait encore. D’ailleurs elle rigole tout le temps (je l’envie).

Maintenant pour les l’Anglais qui se sont confondus en remerciements à mon égard (j’ai trouvé un bristol très stylé dans ma boîte à lettres à moi, avec une invitation à déguster un porto d’ici peu, un beau soir), je suis une sainte.

Pour ceux du dessous je suis Hercule Poirot, puisque j’ai résolu l’énigme du trousseau de clefs passant du cache radiateur à boîte à lettres.

Pour madame GrandMont je suis résolument, finalement, comme elle le pensait en 1995, elle l’a toujours dit, une personne infréquentable, vu que j’ai voulu rendre service n’importe comment à des connards qui lui ont pourri la vie pendant plus de 40 ans…

Vie qui n’est qu’un long calvaire, cela s’entend, n’est-ce pas, bien sûr…

BUG…

Il n’aura pas échappé à votre sagacité que ce blog rencontre des problèmes depuis un peu plus de 4 semaines.

Les problèmes ont été quasiment totalement résolus par ma gentille méchante que l’on remercie au passage : non seulement elle a dû se décarcasser avec l’hébergeur, mais aussi faire face à une maman plus que stressée qui la sollicitait par mail environ 10 fois par jour.

Tout n’est pas totalement résolu pour l’instant, mais devrait rentrer dans l’ordre rapidement désormais.

Je remercie tous ceux qui m’ont contactée personnellement en s’inquiétant. J’ai ouvert une page Facebook « Calpurnia Gentille sorcière » sur laquelle on pourra désormais me joindre en cas de coup dur, comme il y en a eu ces derniers temps…

Quand je le dis que la vie n’est qu’un long calvaire…