Mon changement de téléphone portable… (1)

PortableJ’ai changé de téléphone portable. Cela vous fait une belle jambe et je vous rassure, moi cela ne me l’a pas faite plus belle alors, ne venez pas vous plaindre…

Mon premier téléphone portable m’avait été offert par Pulchérie pour mon anniversaire 2007, car elle ne voulait plus d’une mère « rétrograde » (en fait le mot « dinosaure » avait été prononcé ce soir là, il me semble bien… et la rescapée du Jurassique c’était moi…).

Il m’avait fallu un certain temps pour piger le mode d’emploi, genre éviter la fausse manip qui met la sonnerie sur « off » et le message d’accueil étant donc mes commentaires quand j’avais un bip concernant un nouveau message laissé par un appelant dont, et pour cause, je n’avais pas entendu l’appel…

Je ne sais pas comment j’avais fait mon compte, mais un jour les filles m’avaient appelée en me disant « faut que tu changes ton message d’accueil maman, c’est à mourir de rire, on t’entend rouspéter et papy dire « fais voir ».

Il m’a fallu 2 ans avant de me pencher sur le mode d’emploi pour enregistrer moi-même mes contacts, sans me tromper… Alors que mon neveu qui n’avait que 11 ans, faisait cela les yeux fermés…

Il m’a fallu 4 ans environ pour envoyer mon premier texto sans faute (vu qu’il m’a fallu 1 an pour trouver la touche « espace » donc je remplaçais par des points), manquant déclencher chez Delphine une crise cardiaque. Je n’ai jamais trouvé l’option « cafetière », et jamais pu non plus régler la sonnerie, l’appareil refusant de manière obstinée de tenir compte de mes désirs les plus fous, même si j’avais bien fait « valider ».

Là je n’étais pas responsable PERSONNE, pas même les pros de la carte sim et de tout le bataclan, n’ayant réussi à modifier la sonnerie qui hante encore mes nuits…

Car, le croirez vous, certains DOUTAIENT que je puisse être capable de modifier ma sonnerie sans faire de fausses manip… (suivez mon regard…)

Hélas, l’engin avait depuis pas mal de temps la fâcheuse manie de se décharger très rapidement. 3 minutes de conversation et il fallait le recharger. Je me déplaçais avec mon chargeur, et plus le temps passait, plus il était long d’ailleurs, à retrouver tous ses esprits.

Je me suis donc résolue, la mort dans l’âme, à aller chez Boucher, pour acheter :

  • Un nouveau portable le moins sophistiqué possible, et pas trop cher non plus, ce qui n’était pas gagné.
  • Et au passage, puisque j’étais obligée de me déplacer (tout le monde connait ma répulsion inexplicable pour tout ce qui ressemble de près ou de loin à une grande surface, et le shopping) des cartouches pour mon imprimante et deux clefs USB pour…

Je vous raconterai la suite la prochaine fois, faut que je mette les clefs USB dans mon sac pour les confier à ma soeur (l’arlésienne, celle qu’on ne voit jamais).

La vie…