Une année s’est déjà écoulée, 366 jours, une éternité (3600 secondes x 24 x 366), rien du tout.
Une année avec les premiers temps trop pris par les démarches à effectuer pour réaliser, avec les premières semaines à se réveiller chaque matin pour retrouver la chose accomplie, inexorable, irrémédiable, que la nuit avait gommée.
Une année de négation, de « et si… », comme si l’on pouvait revenir en arrière et changer les choses, de tracasseries administratives, une année de révolte, d’étapes successives soi-disant obligatoires mais dont on ne respecte pas toujours l’ordre et le temps à y passer, car nous ne sommes pas des robots, à nous heurter à de l’injuste, sans que cela console de savoir qu’il y a beaucoup plus injuste encore, ou plus cruel.