Merci de voler au secours de ma fille !

Décidément après des appels au peuple (pas encore terminés) pour aller voter pour la mère chez Holàlà (et lui laisser des commentaires, et des messages privés, et des bonnes notes (l’étoile de droite), et gnagnagna), voici un nouvel appel au peuple concernant Pulchérie cette fois ci.

La fille, la mère : c’est l’équipe de fer…

Qui nonobstant les avis maternels, (vous imaginez bien, elle n’allait pas dire « vi maman », sauf en songeant « cause toujours… ») a décidé de se ruiner une cheville en participant à une course en talons. Mais si, vous avez déjà entendu parler de cette épreuve inventée par des kinés, marchands de plâtres et chirurgiens orthopédistes course formidable.

Si j’ai bien compris le concept (courir en talons hauts, rien qu’à l’idée, ma cheville gauche se révolte), je n’ai pas trop compris le règlement (c’est comme pour Holàlà d’ailleurs, et paf, comment que je le replace une deuxième fois…)

Je sais simplement qu’il faut voter pour elle et ses copines. Ce que j’ai fait. Je vous remercie donc de bien vouloir aller jeter un bref regard sur les très jolies chevilles de ma fille (ce sont les siennes sur la photo) et après d’aller voter pour elle. Elle précise bien que l’équipe s’appelle « les dindes », et normalement on arrive directement dessus avec un simple clic. Reste à voter ce qui est aussi simple que sur Holàlà, (youpla) voire même plus : c’est plus clair, on sait quelle note on donne…

Cliquez sur la page de l’équipe des dindes pour aller voter. (Pulchérie, quand tu rectifie ma page, merci de mettre de la couleur….)

Mais si c’est simple…

Et puis ne traînez pas hein, parce que sinon vous allez oublier et que les votes se terminent d’après ce que j’ai compris dans peu de temps (savoir que je n’ai pas compris grand chose, COMME DE COUTUME)

D’ailleurs je profite de ces appels au peuple (qui seront forcément suivi d’effet) pour faire une piqûre de rappel à Delphine :

« Delphine pense à me ramener l’ouvre boîte de ton arrière grand père qui a fait la guerre dans le Sahara et que tu m’as piqué… Je te donnerai le mien en échange… Oui tu sais que le mien est nul parce que c’était celui que tu t’étais acheté, mais l’autre, j’y tiens »

Bon, là, je crois que j’ai tout dit. Pour ce jour…

Ou comment faire d’une pierre trois coups…

J’aimerais être quelqu’un d’autre pour m’applaudir… (Eh oui, j’étais en congés aujourd’hui…)