C’est ainsi que je voulais me souvenir de lui, le cavalier, l’amoureux des chevaux, le maréchal ferrant, le beau gosse. Combien de fois ai-je pu m’énerver quand on me disait : « Oh cela existe encore ? ».
Eh oui Ducon, tu crois qu’ils se ferrent seuls tes chevaux quand tu vas à l’écurie le dimanche pour faire bien ? Tu crois que les chevaux de courses se soufflent sur les jambes pour se mettre les sabots à jour ? Continuer la lecture de « Ainsi tout se termine, ou tout commence (allez savoir…) »