Le ravage du « j’entasse » : suite… (je ne numérote plus…)

fouillis-copierLe travail qui se voit le moins dans un déménagement, c’est le tri préliminaire. Dès que la promesse de vente avait été signée (9 juillet), j’avais commencé à secouer un peu maman : « il faudrait commencer à trier ».

« Oh me répondait-elle du ton de la personne prise par erreur dans une rafle, qui a tous ses bons papiers et ne se sent donc pas concernée, NOUS AVONS BIEN LE TEMPS ».

Et c’est donc là que j’ai commencé à me boutiquer avec ma mère, quasiment tous les jours, en dehors de tout le monde.

(Tout un monde qui s’imagine d’ailleurs qu’entre elle et moi c’est forcément idyllique… Que je sois claire : j’adore ma mère, mais pas plus que je n’adorais mon père)

Continuer la lecture de « Le ravage du « j’entasse » : suite… (je ne numérote plus…) »