Le ravage du « j’entasse » : suite… (je ne numérote plus…)

fouillis-copierLe travail qui se voit le moins dans un déménagement, c’est le tri préliminaire. Dès que la promesse de vente avait été signée (9 juillet), j’avais commencé à secouer un peu maman : « il faudrait commencer à trier ».

« Oh me répondait-elle du ton de la personne prise par erreur dans une rafle, qui a tous ses bons papiers et ne se sent donc pas concernée, NOUS AVONS BIEN LE TEMPS ».

Et c’est donc là que j’ai commencé à me boutiquer avec ma mère, quasiment tous les jours, en dehors de tout le monde.

(Tout un monde qui s’imagine d’ailleurs qu’entre elle et moi c’est forcément idyllique… Que je sois claire : j’adore ma mère, mais pas plus que je n’adorais mon père)

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Le ravage du « j’entasse »… (3)

fouillis-copierAyant terminé la bibliothèque de gauche sur le pallier de l’étage, ET les bandes dessinées, toujours avec l’aide de maman disant oui ou non, concernant le fait de garder, je suis en droit de déclarer à mon médecin que ma bradycardie naturelle qui l’intrigue (j’ai le coeur qui bat à 50 maxi), m’a probablement sauvée de la crise cardiaque.

J’ai comme pour le reste, commencé par rechercher les doublons dans la partie droite, sans l’aide de maman. Ne vous inquiétez pas : il y en avait.

Et là, chaque étagère comportait deux rangées de livres, et toujours plein d’araignées, qui avaient dû émigrer de la bibliothèque de gauche en pensant qu’on leur foutrait la paix.

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Le ravage du « j’entasse »… (2)

fouillis-copierVous remplacez le bordel par des bouquins, et vous éviterez ainsi de venir m’agresser en me demandant comment il se fait que les livres de ma mère ne sont toujours pas triés (bis).

Après Rambouillet où mes parents sont restés de 1973 à 1988, ils sont partis chez Tante Hortense, l’apiculteur ayant fait cadeau de cette maison qui lui appartenait, à sa fille unique.

Qui avait plein de bouquins car avec papa ils avaient continué à en acheter. Sauf que chez tante Hortense il y en avait plein aussi…

Que maman a gardés, ne vous n’imaginez pas que ma mère puisse jeter un livre.

Non vous n’imaginez pas…

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Le ravage du « j’entasse » qui saute généralement une génération… (1)

fouillis-copierVous remplacez le bordel par des bouquins, et vous éviterez ainsi de venir m’agresser en me demandant comment il se fait que les livres de ma mère ne sont toujours pas triés (Pulchérie avait un jour mis en illustration une photo de 2 bibliothèques de mes parents, mais je ne l’ai pas retrouvée…)

Et évitez-vous de sauter une page, ce serait dommage…

Si je dis que le « j’entasse » saute généralement une génération, ce n’est pas pour rien.

En effet, j’ai pu constater que la grand-mère maternelle d’Albert jetait un peu tout et n’importe quoi. En réaction sa fille gardait tout, et en réaction ses filles jetaient un peu tout et n’importe quoi et Albert idem.

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Vive la confiture de prunes ! (ou comment ne pas commettre un parenticide).

scene-de-menage1 Je retrouve cela dans mes brouillons..

C’était la fatale époque des prunes, mais également  celle où papa était encore là, alors je laisse le post tel que je l’ai écrit, même si j’ai pleuré un petit coup en me relisant.

Finalement j’ai fait quelques modifications qui seront en italique…

Oui, mes parents ont un prunier qui donne des tonnes de prunes (des quetsches). Pour moi c’est toujours chez mes parents, rien à faire… Continuer la lecture de « Vive la confiture de prunes ! (ou comment ne pas commettre un parenticide). »

Le retour… (alors que tout le monde part en vacances, c’est tout moi…)

6222-000049OUIIIII, je sais que j’avais pris la bonne résolution de tenir mon blog de manière régulière et tout et tout, et ce n’est pas la matière qui manque car  DIEU sait combien j’ai de quoi écrire, vu tout ce qu’il s’est passé entre le 20 décembre et aujourd’hui. Et au bout du compte je vous ai laissé tomber depuis le 25 janvier dernier (d’un autre côté cela ne fait que 20 jours fait trop rapport à la résolution).

J’avais des excuses avec le petit doigt de Delphine de mamie… (excuse bidon à mort, on ne peut pas trouver pire). Continuer la lecture de « Le retour… (alors que tout le monde part en vacances, c’est tout moi…) »

Nos gaffes avec les enfants (bis)…

BB__chang__2_56800595_copierOn ne le fait bien évidemment pas volontairement, mais il nous arrive de traumatiser nos enfants sans le vouloir, bien sûr..

Notre plus grande gaffe à Albert et moi concernant Pulchérie, a eu lieu au moment de la naissance de Delphine. C’est un pseudonyme bien entendu. Pour Pulchérie, nous avions le prénom + les deux des grands mères comme il se fait dans la famille d’Albert. Dans la mienne on prenait comme deuxième et troisième prénoms, ceux des parrain et marraine, mais nous n’avions pas l’intention de la faire baptiser, donc pas de dispute pour cela : c’était déjà assez difficile de se mettre d’accord sur un prénom (6 mois de débats animés, Albert étant particulièrement difficile et regardant avec quoi de moche cela pouvait bien rimer (Valentine sac à p… hors de question !). Pour un garçon éventuel j’avais dit « Nicolas » où je me jette sous un train, et c’était acquis, vu que le premier prénom masculin sur lequel nous étions tombés d’accord avait été pris par sa soeur (la pouffiasse, pas l’autre). Continuer la lecture de « Nos gaffes avec les enfants (bis)… »

La Grande Motte 2014 : Comment se faire couillonner dans les grandes largeurs *…

DisputePapa et maman passent leur temps à faire et refaire le sketch « dialogue de sourds », maman ayant largement la palme concernant la baisse d’audition.

Je me suis aperçue de ce problème la concernant, en mai 2008, alors que nous allions au muguet et qu’à 6 mètres de moi, elle n’entendait déjà plus grand chose…

Je m’en suis ouverte à elle très franchement, car, quelques années auparavant, elle n’avait pas arrêté de me dire que telle amie (désormais appareillée) était « ridicule », de ne pas vouloir admettre qu’elle faisait répéter tout le temps, et passait son temps à dire « hein? » ou « quoi ? », que c’était PENIBLE POUR LES AUTRES. Continuer la lecture de « La Grande Motte 2014 : Comment se faire couillonner dans les grandes largeurs *… »

La Grande Motte 2014… (2)

DisputePapa, furax de n’être pas champion de tétris, et d’avoir en vain prédit que « tout » ne rentrerait pas dans le coffre (maman refusant subitement, vu qu’elle allait passer tout le voyage à l’arrière, de voir s’abaisser le 1/3 des sièges ou pire, les 2/3 ne lui laissant qu’1/3), fut consterné le matin du départ de constater que non seulement le peu qu’il restait à maman à caser l’avait été aisément (après un interrogatoire musclé dans la cuisine la veille au soir j’avais prévu le coup : « MOA il me reste juste mes deux vanity » (dont un m’appartient, c’est le vanity que l’on m’a offert pour la naissance de Pulchérie. Il a 33 ans, mais j’y tiens. Et ma mère encore plus. Comme ils sont bien hauts (les vanityyyyes) ils contiennent plein de trucs, dont les médocs. Entre papa et maman, comptez bien… Continuer la lecture de « La Grande Motte 2014… (2) »