La Grande Motte 2014 : LE RETOUR ! (1)

Femme désespéréeJe pense que 2014 restera pour moi l’année merdique de A à Z (mais comme cela a commencé en septembre 2013, je vois se pointer une petite lueur d’espoir, et en plus il faudrait que je vous raconte TOUT, après MURES REFLEXIONS… pour que vous compreniez bien).

Bref, depuis septembre dernier, je n’ai eu que des emmerdes, mais plaie d’argent n’est pas mortelle, disent ceux qui n’en manquent pas. Plaie de santé peut l’être par contre, et il y a un moment que je comprends le « et surtout la santé ! » que se disaient les anciens pour le nouvelle année. Continuer la lecture de « La Grande Motte 2014 : LE RETOUR ! (1) »

Jeudi 26 février, j'suis allée à Paris…

Et c’était grandiose mes amis, je ne vous dis que ça, parce que j’y suis allée EN VOITURE. Comme on m’a fait remarque que je m’étais portée absente blog le 26 février, vous aurez droit à deux épisodes deux jours de suite, et z’avez intérêt à les lire…

Je m’étais promis avec solennité en juillet dernier, de ne jamais remettre une roue dans Paris, à moins de faire partie des VIP qui aiment conduire et ont le droit de se faire ouvrir la route par 4 motards.

J’avais fait une entorse à ma règle pour le 12 octobre dernier, car mes parents et moi-même étions invités pour les 24 ans de Delphine, à aller bruncher. Mon père connaît plutôt bien Paris, et donc, je me sentais rassurée par sa présence. J’avais tort, il connaît bien Paris, sauf les alentours de Nation et manque de pot, c’est justement là que nous allions…

Moralité : périf sud bouché par le dernier jour du salon de l’automobile, pour nous paumer enfin à Nation, et arrivée après téléguidage au téléphone portable à 14 H 30. Quelle honte pour mes parents et moi d’arriver aussi tard !

Nous étions rentrés en 3/4 d’heure.

Donc là, je me suis dit que j’allais profiter de mes congés forcés pour aller passer un moment à Paris. J’en ai en effet marre d’essayer de m’inscrire sur le site « pôle emploi » pour lire que le serveur est saturé, ou de faire 1, 2, 3 sur le serveur téléphonique du même pour revenir à la case départ, ou m’entendre dire que mon temps d’attente est estimé à 72 minutes (et le pouce). Moralité, ça va qu’en théorie je suis en congés payés, mais je n’ai toujours pas pu me réinscrire à ce qu’on appelle comme on veut, mais qui pour moi reste les Assedics, poil au flic (oui, je sais, c’est nul). Ne me reste qu’à me déplacer avec un munster, pour faire le siège quand on va me répondre « il faut téléphoner pour prendre RV » ou bien « inscrivez-vous sur le site ».

BREF ! Delphine m’a coupé l’herbe sous le pied, en me demandant si cela ne me dirait pas d’aller passer une journée à Paris. Ben si, justement. Par journée, n’entendez pas que je me pointe gare Montparnasse à 9 H du mat pleine de frissons, d’ailleurs je ne sais pas si ma progéniture apprécierait (rapport au jour où Pulchérie n’était pas prête à 13 H…).

Nous nous sommes entendues sur une journée où Pulchérie serait aussi disponible et croyez-moi, oubliez les intermédiaires : pour déclencher les guerres intra familiales, les malentendus et l’incompréhension, c’est l’idéal. Si ces 3 objectifs vous rebutent, réglez les choses vous-même au prix de 32 coups de téléphone et 72 mails, mais ça finira par être au point (un jour).

Et puis Delphine attendait depuis un petit moment le jour où je pourrais :

  • Emprunter la voiture de mon père
  • Accepter de mener cette voiture à Paris. Pas pour le plaisir de promener la voiture, mais c’est un break, et c’est dans cette seule voiture que peut tenir le canapé qu’elle avait acheté lors de ses débuts parisiens, et qui n’allait pas dans sa chambre de bonne, qui donc, a été rapatrié dans le grenier de mes parents, où il dormait depuis environ 5 ans.

C’était dans l’air depuis un moment, gendre n°1 et 2 devant théoriquement devant mon peu d’enthousiasme, se charger du canapé. En effet, à la première demande, c’était verglas et compagnie, merci bien.

Donc, il a été convenu que Delphine arriverait le mercredi 25 février au soir, que nous allions descendre le canapé avec grâce du grenier de mes parents, le mettre dans le break, et partir en chantant le lendemain matin, pour livrer le canapé chez elle, et retrouver Pulchérie pour un déjeuner commun et un petit après midi toutes les 3.

Ca c’est le scénario Disney, sans la malédiction du facteur maudit… Et si vous ne savez pas ce qu’est la malédiction du facteur maudit, vous n’avez plus qu’à tout lire (et là c’est la malédiction de la sorcière maudite, gniark gniark)