Vous je ne sais pas…

Mais moi, j’adore tout particulièrement trouver ce genre de commentaire en attente de modération… ou dans mes spams…

Je vais toujours tout vérifier, parfois un lecteur assidu se retrouve en spams, alors je reste vigilante, et ai donc la joie de lire un truc dans ce style…

REXsfj hyraffnmphhr, [url=http://ajlautxhmnfk.com/]ajlautxhmnfk[/url], [link=http://blbgdgullcgp.com/]blbgdgullcgp[/link], http://nbtpghcjzlwi.com/

Si quelqu’un sait de quoi il s’agit, qu’il me fasse signe…

Si quelqu’un sait également ce que cela rapporte à l’envoyeur, qu’il m’explique…

Et faisez gaffe les gens, c’était dans les spams, donc théoriquement, suspect… Alors vous cliquez ou pas, mais moi, c’est OU PAS, et direct poubelle…

C’est encore tout pour aujourd’hui, car ce n’est pas le tout, mais je dois faire mes compte-rendus de la dernière visite de Maritza…

Donc, n’est-ce pas…

Les cendres de la belle-mère (le retour de Maritza – Fin)

EndoraLa mère de Trevor détestait Maritza, depuis le jour lointain où son fils de 20 ans était tombé amoureux de cette petite française de 16 et que de peu, il épousait à Gretna Green…

La mère de Trevor détestait tout ce qui portait jupons et s’approchait de ses fils. L’aîné avait su lui dire « merde » en anglais dans le texte, mais pas Trevor.

Quand ce dernier l’avait avertie dans la série « 20 ans après » (ou 25, on se perd), qu’il épousait Maritza enfin retrouvée, et qui quittait la Suisse pour venir s’installer avec lui, elle lui avait écrit « she’s not good for you » et cela Maritza ne l’avait jamais pardonné.

Manque de bol, la belle mère habitait juste à côté et se mêlait un peu trop des histoires du jeune (!) couple, finissant par devenir la pomme de discorde essentielle à toute histoire qui va fatalement foirer.

Première fugue de Trevor qui disparaît, Maritza est coincée en Angleterre où elle a fait venir sa mère en fin de vie, alors que l’autre, la belle mère, ne crève toujours pas ! Elle tiendra jusqu’à 103 ans (la belle-mère).

Des années de galère, divorce, retour en Suisse, re-départ en Angleterre pour ré-épouser Trevor.

Et la belle mère est toujours là. Comme la reine mère à l’époque, immortelle en apparence, toujours à foutre la merde entre son fils et sa bru.

Re-séparation avec Trevor, départ de ce dernier en nursing home, loin des deux femmes (enfin tranquille qu’il croyait !).

Et la belle mère décède enfin, trop tard, le divorce vient d’être prononcé. Maritza récupère les cendre de cette femme trop haïe, et Trevor lui ayant déclaré qu’elle pouvait bien en faire ce qu’elle voulait, met l’horrible boîte rose contenant les cendres, bien en vue sur la cheminée.

« Quelle satisfaction que de regarder cette boîte tous les soirs en me disant que la grosse truie était dedans ! »

Il y en a à qui il en faut peu pour être heureux…

Mais bon, la boîte était vraiment « immonde, et moche en plus« . On se lasse de tout. Maritza somme Trevor de faire quelque chose des cendres de sa mère.

Mais Trevor est formel : sa mère lui a assez pourri la vie de son vivant, elle ne va pas continuer une fois en cendres, son frère et lui ont respecté les dernières volonté (crématorium), mais depuis la mise en boîte, ce n’est plus leur problème.

Maritza est libre de faire ce qu’elle veut des cendres : les répandre dans la mer (ça se fait beaucoup dans le coin), sur une pelouse, dans une jardinière. Puisqu’elle a retiré la boîte de la niche du funérarium, elle se démerde avec son contenu, personne ne lui a rien demandé (en plus elle a signé faussement de son nom d’épouse-qui-ne-l’est-plus pour obtenir la boîte).

Du coup Maritza est furieuse, et quitte le nurse home en claquant la porte, avant l’installation des portes de sécurité. Non sans avoir repris la boîte litigieuse car Trevor n’en veut pas dans sa chambre.

Reste à organiser l’enterrement de la boîte, une idée qui ne peut germer que dans l’esprit tortueux de Maritza… Sans doute songe-t-elle aux cendres de sa mère, qu’elle devait répandre dans le canal St Martin, et qu’elle a finalement confiées à sa fille (qui à mon avis, et je le partage…).

Maritza ne va pas jusqu’à acheter une concession au cimetière, mais elle déniche un chouette endroit quelque part dans la lande, pour enterrer les cendres de sa belle mère dans leur immonde boîte rose.

Et invite une amie à elle (pas à la belle mère, elles sont toutes mortes) pour procéder à la cérémonie. Qui implique de creuser un trou dans un site protégé et de risquer d’être fichée (une fois de plus) chez Interpol ou Scotland Yard.

L’amie transpire de trouille pendant tout le temps où Maritza officie avec sa bêche, puis chantera avec elle après enfouissement de la boîte (immonde), « plus près de toi mon Dieu, plus près de toi » (mais si, vous savez, comme dans « les bronzés font du ski » !).

Elles quittent le site sans avoir été repérées. Maritza est soulagée : elle a fait son devoir (!).

Son amie ? Elle ne l’a jamais revue car elle aurait soi-disant déménagé, en tous cas, impossible depuis d’avoir de ses nouvelles… Cela s’appelle « partie sans laisser d’adresse »…

Car la vie n’est qu’un long calvaire et l’enfouissement des cendres aussi !

Je tiens à préciser ici, solennellement à mes filles, qu’il est inutile de me confier les cendres de qui que ce soit de leur famille paternelle en pensant me faire plaisir.

Car elles (les cendres) iront direct ce que l’on appelle pudiquement « des WC »…

Le dernier jour du séjour (2) (le retour de Maritza)

EndoraBien obligée de raconter un peu sa vie depuis octobre dernier à tatie chérie et ma soeur, Maritza non sans humour (le sien est merveilleux) nous apprend donc que, après 12 mois à ne plus vouloir la voir (l’année dernière à la même époque, elle en était à 8 mois), 2 ans après leur deuxième divorce, Trevor a consenti finalement à nouveau à ses visites.

Elle s’est rendue pendant 12 mois,  clandestinement au nurse home en espérant franchir les barrages infirmiers grâce à des déguisements de choc (mais en vain), pour un beau jour tomber sur Trevor descendu fumer dans la salle ad hoc à l’entrée.

Cette constance à se faire du mal m’exaspère prodigieusement, car pour moi « quand c’est fini c’est fini », mais bon, pour Maritza, rien n’est jamais fini… Maman ne comprend pas non plus, à bientôt 53 ans de mariage avec papa, bref nous ne comprenons pas, même si je suis plus ouverte à ce genre de truc que maman…

Un Trevor pris en flagrant délit de fumer, qui a accepté de guerre lasse de la recevoir et de reprendre avec elle, leurs disputes favorites.

  • Donc 2 fois par mois depuis cette date, ils s’engueulaient copieusement dans la chambre du « nursing home » de Trevor, elle, voulant qu’il reconnaisse qu’il s’était conduit comme un salaud, lui, refusant de le reconnaître. Lui voulant qu’elle reconnaisse qu’elle est invivable, et elle, refusant de le reconnaitre.
  • En plus devant les jambes de Trevor « moches, rouges et gonflées »  (et ça c’est sûr !) Maritza prônait l’amputation pure et simple, mais Trevor n’était pas d’accord. Ses jambes étaient peut-être rouges, gonflées et moches, mais il y tenait tout de même. Et de cela il était sûr également…
  • Maritza pense qu’il s’agit de gangrène, mais que les médecins cachent la vérité au malade. Nous lui avons précisé qu’une gangrène galopante, depuis 3 ans, était certainement une mauvaise option…
  • Moralité : un jour où il refusait l’amputation une fois de plus,  elle l’a quitté en voulant marquer le coup à sa manière, à savoir en claquant violemment la porte, ce qui n’est pas « so british » alors que Trevor est vraiment « so british »
  • C’était une porte de sécurité qui lui est revenue dans la tronche à cause d’un ressort, d’où un nez ruiné, un homme impassible lui précisant sobrement « c’est raté » (« you’re wrong » en gros, excusez du très peu de mon british quand j’essaye de reproduire ce qu’elle prononce avec naturel…)
  • Du coup nous a-t-elle dit, elle est allée claquer la porte de la salle de bain mais « cela ne faisait pas le même effet, surtout que je me tenais le nez » (qui pissait le sang).

Elle m’avait raconté l’histoire la veille et j’avais été morte de rire, tout en lui précisant que moi je ne claquais jamais les portes :

  • Ah bon ? tu fais quoi alors ? Pour montrer ta légère désapprobation ?
  • Je prends le rouleau à pâtisserie en précisant « tu as 2 heures pour vider les lieux » (authentique) laisse la porte ouverte en partant. Si je l’ai trouvée fermée en arrivant c’est encore plus méprisant.
  • L’idée n’est pas mauvaise… (et oh combien plus silencieuse !)

J’en connais qui vont me bénir (ses enfants), quand ils se pèleront le jonc (comme le bailli du Limousin) parce qu’elle aura quitté leur appartement en colère en laissant la porte grande ouverte.

Mais le dimanche n’était pas terminé…

Le dernier jour du séjour (1) (le retour de Maritza)

EndoraPour le dimanche 24 octobre, Mrs Bibelot et Jean Poirotte avaient invité tatie chérie et ma soeur (Mrs Vésicule). Maritza cela ne se loupe pas.

Attention, n’allez pas vous méprendre : Maritza est une femme intelligente et cultivée. Elle a  gardé une grande naïveté enfantine, elle a un caractère de cochon dans la vie de tous les jours (sauf chez mes parents où forcément elle se retient, mais quand elle raconte ses démêlés conjugaux on sent bien que…), et surtout, à aller de pays en pays, elle a perdu beaucoup de repères qui nous semblent normaux.

De plus elle est restée bornée sur certains principes qui lui ont été inculqués par sa mère (qui n’était pas un cadeau), car on peut être borné et intelligent malgré tout.

Pour la littérature et le cinéma, on ne peut pas l’avoir, elle est extraordinaire, et cela lui fait un point commun avec Jean Poirotte : elle est championne en westerns et les adore. Pour les livres, avec Mrs Bibelot ou moi-même, elle est très à son aise.

Pour l’imagination également, elle est très forte, et avec ce qu’elle a vécu, elle devrait écrire un roman, sans avoir besoin d’enjoliver les choses. Sauf que… Nous découvrons années après années qu’elle nous a parfois caché des choses importantes, surtout concernant ses relations avec Trevor, qui reste finalement l’amour de sa vie.

Oui Maritza nous a caché des choses importantes, ou menti un-petit-peu, non pour enjoliver les choses (qui se suffisent à elles-mêmes) mais au contraire pour les minimiser. Le problème étant qu’un jour ou l’autre elle se coupe, et que nous devons reprendre sa biographie depuis le début…

J’ai découvert avec tristesse lors de ce séjour 2010 que son inquiétude pour mon épaule, la santé en général, la dépression en particulier, était un exutoire à sa propre peur de mourir, de souffrir, de devenir impotente et grabataire. Elle a eu un cancer du sein, n’est pas encore dans le champ du « guérie », et a vu trop de personnes décliner pour être sereine.

Elle a donc pour de multiples raisons :

  • la vie si difficile pour « les pauvres » en Angleterre où la vie y est, d’après elle et c’est très certainement vrai, au dessous de ce que nous pouvons imaginer (de quoi se plaignent les français, ceci dit par elle sans acrimonie, mais l’anglais ne fait pas grève lui, donc on l’écoute moins…),
  • un service de santé que, s’il est plus bâtard et mal foutu tu vis dans un pays sous développé,
  • l’éloignement de son fils et de sa fille,
  • le caractère anglais qu’elle ne supporte plus,

décidé de retourner en Suisse dont elle a toujours la nationalité, et qui lui paye sa rente mensuelle, et va la prendre en charge de manière plus agréable et moins coûteuse, dans une résidence pour personnes pré-âgées encore valides (la distinction se fait chez eux), avec un service de santé top. Près de ses enfants qui plus est.

Quitter la Cornouailles, c’est quitter Trevor, nous l’avons bien compris finalement, même si elle le nie farouchement (la lande est magnifique…), l’amour de ses 16 ans, un amour tumultueux qui aura marqué sa vie, au travers de multiples aventures, deux mariages et deux divorces, de nombreuses séparations et retrouvailles. Ce genre d’amour de merde qui vous flanque une vie en l’air…

Non ce n’est pas la lande qui va lui manquer, mais elle se dit que finalement elle était retournée se remarier avec Trevor pour finir ses jours là-bas en toute sérénité, que c’est loupé depuis plus de 4 ans, et qu’après avoir pour une dernière fois traversé la Manche, il y a de gros risques pour qu’elle ne le revoie jamais.

Il ne veut plus la voir régulièrement, mais elle le sait pas loin, et puis allez savoir, comme il change d’avis à son sujet de temps à autres et accepte ses visites tout à coup, il pourrait bien l’épouser pour la troisième fois et ENFIN la laisser veuve (et sans doute, l’esprit tranquille même si plein de regrets…)

Quitter la lande, c’est quitter quelque part sa jeunesse, et elle retourne donc à Genève en février prochain, avec l’impression d’aller se réfugier dans un mouroir.

Sauf que Maritza a de la ressource, et tout plein de projets…

Tu ne tueras point (Lady commandement ou le retour de Maritza)

EndoraCeci n’est pas un bulletin de santé officiel…

Mais bon. J’avais donc RV avec Acromion à 12 H 30, heure à laquelle il convient en général de rajouter 3/4 d’heure d’attente minimum. En fait il prend un patient toutes les 20 minutes, et vous garde le double car il est très méticuleux…

J’étais donc partie avec un polar et toute ma patience. Quelqu’un d’autre que lui se chargerait bien de la mettre à mal (ma patience)

Pour apprendre après un examen approfondi que finalement mes tendons sont toujours bien accrochés, mais que je souffre d’une déchirure musculaire, un genre de big entorse de l’épaule quoi.

Vu l’heure de ma sortie, j’ai été faire quelques courses à Champion, pour me pointer chez mes parents, en oubliant que damned, nous sommes samedi.

Damned, car en semaine, quand j’arrive là-bas, Maritza est à l’étage en train de regarder « les feux de l’amour » et que ces rats ne diffusent pas « les feux de l’amour » le WE.

On n’est pas aidés, on ne peut compter sur personne !

Donc, elle était dans la cuisine à m’attendre, j’étais coincée…

A sa décharge, Maritza a affaire avec la médecine anglaise depuis des années et des années, ce qui n’empêche pas qu’elle connait le système français, et le système suisse (qui semble assez proche). Mais tout de même, comme elle tombe toujours de l’armoire, cela rend la conversation difficile.

  • Alors ton épaule ça va ?
  • C’est une déchirure musculaire
  • Ah bon ? Tu es sûre ? Comment il sait cela ?
  • Il le sait, il m’a fait faire des tests…
  • Ah bon ? Et c’est fiable tu crois ?
  • Oui, j’en suis même absolument sûre !
  • Ah oui c’est vrai que tu as déjà eu des problèmes avec cette épaule. Quelle horreur ! (autre grand mot de Maritza…)
  • Oui j’ai déjà fait ces tests
  • Quelle horreur… Et il te fait faire de l’électricité pour réparer tout ça ? (son grand dada depuis qu’elle connait cette méthode et celle des ultrasons pour les tendinites)
  • Non, j’ai quelques jours d’anti-inflammatoires et des antalgiques
  • Quelle horreur ! Tu ne pouvais pas exiger qu’il te fasse réparer avec de l’électricité ?
  • (Chaise électrique…) Maritza, quand c’est déchiré, c’est déchiré. Nous avons de la chance déjà que notre corps puisse se réparer contrairement à une nappe, il faut de la patience.
  • Oui et puis en fait le médecin fait ce qu’il veut. S’il ne veut pas te faire réparer à l’électricité, tu ne peux pas l’obliger…
  • Une déchirure, quelle horreur ! Et tes tendons sont toujours bien accrochés donc !
  • Pour l’instant oui
  • Comment ça pour l’instant ? Tu crois que tu vas avoir des décrochages de tendons ? Et ton épaule gauche, ça peut recommencer aussi un jour ?
  • On ne peut jamais dire jamais… (d’autant que l’on n’a jamais su ce que j’avais eu à gauche…)
  • Quelle horreur !
  • Je vais aller à la pharmacie là (elle ouvre dans 5 minutes, c’est le havre vers lequel je vais me précipiter, pourvu qu’il y ait du monde avant moi !!!)
  • Tu crois qu’ici dans ce petit village il va avoir tout ce qu’il te faut ?
  • Ben oui, ce sont des traitements classiques, je ne vais pas piller un laboratoire non plus !!!
  • Tu es sûre ? Parce que c’est une pharmacie de petit village tout de même.
  • Je suis sûre (Os à écraser sur le crâne de l’autre, car je vous ai épargné les 3/4 de la conversation)
  • Tu ne veux pas que je t’accompagne ? Au cas où tu tombe, avec ton épaule déchirée que le médecin ne veut pas raccommoder à l’électricité
  • Non pitié surtout pas c’est gentil Maritza mais franchement non, cela me fera du bien de marcher un peu toute seule, cela va me changer un peu les idées des idées de meurtre.

Retour de la pharmacie. Damned, ma mère n’est pas encore levée… Quand je le dis qu’on n’est pas aidés…

  • On reprend tout depuis le début (chaise électrique)
  • Suis-je sûre ? (fusil de chasse gentiment suggéré par une lectrice)
  • Quelle horreur ! (humérus de dinosaure)
  • Il avait bien tout pour tes médicaments ?  c’est formidable (crime gore et parfait que même pas dans les séries les plus noires, ils oseraient)
  • Tu es sûre qu’il ne te manque rien ? Tu as vérifié avec l’ordonnance ?

Fort heureusement, Mrs Bibelot enfin levée (ah tout de même !) a su habilement, après m’avoir demandé les nouvelles les plus brèves possibles (elle avait croisé mon regard assassin), détourner la conversation sur l’histoire du pistolet d’ordonnance du premier mari de Maritza, ou de son père, on ne sait plus trop.

Quand je suis partie, au début du chapitre 2, 3ème sous chapitre, Jean Poirotte prenait de l’aspirine avec, je le soupçonne, comme une trace de narcoleptique dedans…

Une question me taraude : même si Maritza a ses bons côtés qui ne sautent pas aux yeux comme un coup de pied aux fesses quand je parle d’elle, quand elle raconte sa vie je me demande COMMENT Trevor a fait pour l’épouser 2 fois

Parce que tout de même, quand je dis « quelle idée que de se remarier », au moins, j’ai l’excuse de ne pas avoir épousé deux fois le même…

Quelle horreur !!!

Le retour de Maritza : l'arrivée…

EndoraMrs Bibelot m’avait sadiquement bombardée « réceptionniste en chef de Maritza ».

Il faut dire qu’elle débarquait à la gare de ma bourgade, pendant l’heure de la sieste (de mes parents, moi je ne sieste jamais, cela ne me réussit pas) et que comme je vais prendre le thé avec ma mère tous les après midi, j’étais la personne idéale pour aller faire le pied de grue à la gare.

Connaissant le phénomène (le terme est faible), on pouvait tout imaginer avec peu de chances de se tromper. Continuer la lecture de « Le retour de Maritza : l'arrivée… »