Le ciel peut attendre* (et le diable aussi)…

Elodie tête en l'airIl y a des personnes qui vendraient leur âme au Diable pour voir un article sur eux dans un journal, si possible avec photographie (merci pour eux) ou pour passer à la télévision. (Si, si, j’en connais ! ).

Il n’y a qu’à voir le nombre de daubes type « TV réalité » qui peuvent passer, au cours desquelles les protagonistes, si ce ne sont pas des acteurs payés pour, n’ont pas honte de parfois se ridiculiser un max.

J’ai été contactée à plusieurs reprises par deux chaînes dont je préfère taire les noms, pour passer dans telle ou telle émission, « mon blog ayant beaucoup plu ». Continuer la lecture de « Le ciel peut attendre* (et le diable aussi)… »

La Grande Motte 2014 : Comment se faire couillonner dans les grandes largeurs *…

DisputePapa et maman passent leur temps à faire et refaire le sketch « dialogue de sourds », maman ayant largement la palme concernant la baisse d’audition.

Je me suis aperçue de ce problème la concernant, en mai 2008, alors que nous allions au muguet et qu’à 6 mètres de moi, elle n’entendait déjà plus grand chose…

Je m’en suis ouverte à elle très franchement, car, quelques années auparavant, elle n’avait pas arrêté de me dire que telle amie (désormais appareillée) était « ridicule », de ne pas vouloir admettre qu’elle faisait répéter tout le temps, et passait son temps à dire « hein? » ou « quoi ? », que c’était PENIBLE POUR LES AUTRES. Continuer la lecture de « La Grande Motte 2014 : Comment se faire couillonner dans les grandes largeurs *… »

Et vous la tête, ca va comme vous le voulez ?

Femme incrédule

Je ne prétends pas ne pas être tête en l’air. Je le suis un peu, comme tout le monde, sans atteindre les sommets de la distraction dont j’ai parfois constaté les effets sur certains…

Généralement c’est assez drôle….

  • Le collègue qui arrive au boulot avec son sac poubelle. Sa femme lui avait demandé de s’en charger, mais il a juste oublié de s’arrêter dans le local ad hoc. CELA PEUT ARRIVER, la preuve, mais de là à descendre le sac poubelle de la voiture pour le poser tranquillement sur son bureau, il y a un gouffre.
  • Celui qui s’énerve sur cette PDBDM de télécommande qui ne fonctionne plus. D’autant moins d’ailleurs qu’il se sert du téléphone pour essayer de baisser le son.
  • Le même d’ailleurs, qui essaye de prendre un appel, avec la télécommande…
  • Celui ou celle qui retrouve enfin son portefeuille dans le frigo. Ou dans le congélateur, ce qui lui aura laissé le temps de faire opposition à tout auprès de sa banque parce qu’il ne mange que peu de surgelés.
  • Le vraiment distrait qui s’aperçoit au bout de 100 km qu’il a juste oublié sa femme et les bagages sur le trottoir (ceci avant l’invention du portable qui aurait pu éviter à la malheureuse une longue attente).
  • Le père de la mariée qui monte à l’arrière de sa voiture et s’exclame : « putain on m’a piqué mon volant! »
  • La mariée qui a oublié son bouquet et ne s’en aperçoit qu’au moment de sortir de la mairie sous les flashes crépitants, en se demandant ce qu’elle peut bien faire de cette fichue main gauche, la droite étant accroché à celui qui se demande s’il a bien fait de dire oui.
  • La collègue qui se dandine régulièrement parce qu’elle a mis son string à l’envers. Une culotte je veux bien, mais un string…
  • Un de mes profs d’anglais, resté dans les annales, qui arrivait régulièrement avec le pantalon devant/derrière et les coutures à l’extérieur. Et qui quittait l’établissement le soir dans le même état.
  • Le mal réveillé qui passe sa brosse à dent dans ses cheveux… avec le dentifrice.
  • Albert, ses lunettes de soleil sur le nez, me demandant où je les ai planquées (utiles les lunettes…)
  • Ma voisine qui a très gentiment déneigé ma voiture, alors que la sienne est beaucoup plus petite et trois places devant la mienne
  • Le type énervé par ses 3 mômes au demeurant vraiment insupportables, qui remplit soigneusement votre caddy avec de la bouffe pour enfants insupportables
  • Fille ainée partant de chez elle avec une ballerine noire et une autre bleu marine.
  • Monsieur gendre confondant le désodorisant des toilettes et celui qu’il doit se mettre sous les bras.
  • Une amie se brossant les dents avec de la crème dépilatoire, sans broncher… et précisant même qu’elle n’avait jamais eu les dents aussi blanches (et les gencives si irritées…)
  • La personne bénie, personne à droite, personne à gauche, personne en vue, qui m’avait gentiment laissé 150 euros dans le distributeur, preuve que la mention « prenez vos billets » n’est pas superflue…

Après cette dernière évocation, difficile de dire que la vie n’est qu’un long calvaire, sauf que cela devrait m’arriver plus souvent…

Mais qu'est-ce que j'ai fait de cette boîte ?

57417023Attention, c’est relatif à mon imagination débordante qui parfois me joue des tours que même pas j’oserais vous raconter…

Comme toute femme qui se respecte, j’ai chez moi ce que j’appelle de la quincaillerie, à savoir des bijoux que j’ai accumulés à une certaine époque.

Je n’ai rien contre les femmes qui portent des bijoux, simplement, moi je n’en porte plus pas.

J’ai même oublié d’en mettre le jour du mariage de Pulchérie, c’est tout dire…

Je crois que j’ai commencé à faire un rejet à l’époque où j’étais encore avec Albert, et que ma méchante belle soeur se pavanait même en allant aux champignons, avec rivières de diamants, rubis, émeraudes, perles, etc… pas toujours du meilleur goût (le plus voyant possible était ce qu’elle préférait) et pas toujours assorti avec ses toilettes…

Petit à petit, j’ai eu des collègues de travail qui étaient un peu comme moi quand j’étais chez Truchon, et j’ai perdu l’habitude de penser :

  • Boucles d’oreilles
  • Bague (à l’exception de mon alliance qui m’a « fait » 2 ans avec Charles Hubert et que je ne quittais jamais)
  • Bracelet
  • Collier, à l’exception d’un que je ne quittais jamais non plus jusqu’au jour où le fermoir a rendu l’âme.

J’ai du toc, du fantaisie, et des bijoux de famille, comme papa, mais pas les mêmes… (ce dont vous vous doutiez certainement…)

Et je les range depuis longtemps, en mélangeant dans des boîtes diverses, le toc et l’authentique, au cazoù des cambrioleurs auraient l’audace de rentrer chez moi pour y faire le ménage…

Il y a un petit moment que je ne peux plus porter de bagues, mes articulations main droite – main gauche commençant à se déformer, avec de grosses bosses que je suis peut-être la seule à voir (et surtout à sentir) mais qui sont incompatibles avec les bagues.

Tout ce qui est bijoux de famille, vous le comprendrez, c’est pour mes filles.

Delphine étant venue passer 2 jours, j’ai évoqué avec elle, le fait que j’avais l’intention de donner à tout le moins mes bagues, et elle n’a eu de cesse de venir chez moi pour en choisir une ou deux.

Evidemment, elle s’est ruée sur la seule bague au sujet de laquelle je pensais que mes deux filles feraient « berk »… Une chevalière de Mrs Morgan, qui est en fait un Louis d’or (Napoléon III – 20 F Or) monté avec aussi de l’or.

Pour moi il représentait le souvenir de ma grand-mère, Delphine l’a trouvé classe et d’autant plus que c’était un souvenir de famille et de son arrière grand mère. Elle s’est donc précipitée dessus comme la vérole sur le bas clergé breton, prenant également 1 serpent en or ramené d’Egypte, que Pulchérie a toujours trouvé moche. Puis elle a récupéré 2 bagues à elle qu’elle croyait perdues à jamais.

Sauf que, voulant lui montrer ce qu’il me restait comme bijoux de valeur :

  • Ma chaîne et ma médaille de baptême
  • Ma gourmette de première communion
  • Des bijoux offerts par Albert

Il m’est apparu qu’une boîte à quincaillerie, normalement dans ma chambre, était totalement introuvable…

Donc, depuis hier, je suis tarabustée par cette question essentielle :

  • Mais qu’est-ce que c’est que cette bouteille de lait que j’ai fait de cette boîte ?

La vraie question étant en fait : « qu’est-ce qu’il m’est passé par la tête quand j’ai voulu planquer cette boîte ?« . Car là, je suis capable de tout… (ici)

Comme Mrs Bibelot en effet, je me dis « je vais le mettre là, c’est tellement incongru comme endroit que personne n’ira le chercher là et que je suis obligée de m’en souvenir ».

Tout faux, une fois de plus…

Je me souviens avoir vu cette boîte il y a 11 mois avant de partir à la Grande Motte, mais je ne me souviens absolument pas où j’ai pu la planquer, et quel est l’endroit où elle est que forcément je devais m’en souvenir…

Ne me reste plus qu’à retourner tout l’appartement, en regardant partout, y compris dans le moindre robot ou recoin. Comme l’appartement est déjà à l’envers, cela va le remettre à l’endroit…

A moins que la boîte me crève les yeux ne soit sous mon nez, ce qui n’est pas exclu.

Mais bon, je vais donc retourner tout l’appartement.  Quand je l’aurai retrouvée, je rangerai la boîte ailleurs.

Je vous raconterai… Dans un an, quand je me demanderai une fois de plus : quelle est l’idée saugrenue qui m’est venue à l’esprit quand j’ai rangé cette boîte  ?

La vie n’est qu’un long calvaire…

(PS : la première chose que j’ai faite, c’est de regarder dans le congélateur, ce qui vous montre à quel point je ne suis pas sortie de l’auberge…)

Comment supporter nos collègues de bureau : l'éternel distrait…

Bon, celui là je l’aimais bien malgré tout, et nous gardons de loin en loin, des relations téléphoniques, lui s’inquiétant de savoir si j’ai « retrouvé quelque chose », et s’en voulant de ne pas pouvoir m’aider.

Fabrice. L’éternel distrait. Battant largement Pierre Richard (si, si…).

Il a mis 2 semaines à réaliser que mon bureau était occupé, par moi… Il a donc passé 2 semaines à ne pas me dire bonjour ou au revoir, et à ne pas réaliser que ce n’était pas Sandra qui lui passait les communications.

Non, il m’a découverte alors que j’étais descendue fumer une clope dans le lieu ad hoc, qu’il venait faire de même, et m’a demandé qui j’étais, d’un air soupçonneux…

Il s’est insurgé : on aurait pu le prévenir qu’il y avait une deuxième secrétaire, c’était la moindre des choses… (j’étais juste en face de lui à 3 mètres environ…)

Il a oublié sa distraction 2 heures après, en m’apportant un manuscrit de 10 pages à taper, écrit en mode « mec bourré deuxième langue ».

Après nous avons été très potes, surtout quand il a perforé son ulcère qu’il ne faisait plus surveiller (une distraction), et que j’ai été celle qui a appelé les pompiers en urgence nonobstant l’avis des autres « il fait une crise de foie » en lui sauvant limite la vie. D’ailleurs, j’ai été la seule à aller le voir à l’hôpital (qui refusait de le transférer dans le 91 à côté de chez lui), un jour sur deux. Cela il s’en souvient toujours et sa femme qui ne pouvait pas se déplacer tous les jours, aussi.

Mais Fabrice…

  • Arrive un matin avec un sac poubelle, à ma grande surprise : ce n’est rien, il a juste oublié de le jeter dans le container… en bas de chez lui. Du coup il me le confie…
  • Arrive systématiquement avec une heure d’avance ou de retard, au moment du passage à l’heure d’été, ou d’hiver (d’ailleurs à ce sujet…. blablablablabla…)
  • Vient me voir parce que son ordinateur ne marche pas : normal, l’engin est débranché.
  • Ou alors il a oublié de l’allumer (plus courant, ainsi que la panne d’écran qu’il n’a pas rallumé…)
  • Me dit : « je te laisse le dossier Shmurts, je compte sur toi pour t’en occuper pendant mes congés », et part avec…
  • Oublie son mot de passe pour l’ordi, et au bout de 3 ans me le confie sous le sceau du secret le plus absolu. Avec à chaque demande un « tu es certaine ? »
  • Oublie qu’il a mis un gros bout de bois pour que la fenêtre ne se referme pas tout le temps. En a marre des courants d’air, et vient refermer la fenêtre d’une main ferme, la dégondant au son de « arrêtez de ricaner, et venez m’aider putain bordel ! »
  • Oublie sa fille qu’il devait déposer à la crèche et qu’il me confie pour la journée (heureusement il ne l’a pas oubliée dans la voiture)
  • Part de chez lui en prenant ses clefs, mais en refermant la porte avec celles de sa femme qui est du coup enfermée chez elle. Je ne vous dis pas ce que je me suis pris dans les oreilles quand elle a découvert qu’elle ne pourrait pas sortir avant le retour de son homme, Fabrice étant parti en clientèle et ayant bien évidemment oublié de recharger son portable…
  • Part précipitamment du bureau (toujours), remonte 2 minutes après : « Coraline on m’a volé ma voiture ».
  • Non Fabrice, tu as laissé ta voiture au garage ce matin, et tu as encore 20 minutes pour aller la récupérer, je t’emmène en partant…
  • Part en Nouvelle Calédonie pour 3 semaines, pour une mise en service en oubliant le dossier technique indispensable
  • Et le billet d’avion que j’avais scotché sur son écran d’ordi…
  • Laisse une étiquette sur son téléphone portable qu’il oublie partout, en précisant de l’appeler sur… le portable en question.
  • Part déjeuner avec moi, papote dans sa voiture, descend au bon endroit, m’oublie et referme la voiture avec l’alarme (je suis restée coincée 1/4 d’heure, le temps qu’il réalise que l’alarme était la sienne…)

Bref, le collègue super sympa par ailleurs, mais derrière lequel on fait voiture balais, parce que finalement, tout est de la faute de la secrétaire… Comme j’en avais un autre à pister pour réparer les erreurs (le chef du service commercial),  je me sentais parfois lasse…

D’autant que concernant le calcul de ses commissions, Fabrice n’avait aucune distraction, et repérait une erreur d’un euro sans prendre le temps d’y réfléchir…

Et puis il s’occupait de ses dossiers de A à Z sans emmerder personne et c’était toujours impec… (pour les laisser sur son bureau avant de partir procéder à l’installation…)

Comme quoi…

La vie n’est qu’un long calvaire

(Fabrice, si par un hasard curieux tu me lis, ne m’en veux pas, tu sais que je t’aime beaucoup tout de même…)

Le recensement…

Je fais partie du secteur recensé cette année, depuis la première fois depuis 1999. Maintenant on recense par tronçons, pour mieux fausser les données…

Les recenseurs passent à des heures indues et n’importe quel jour. Je ne suis jamais désagréable avec eux, ils sont embauchés juste pour ça et ils font un boulot de merde. Mais il n’empêchent qu’ils me gonflent.

Bref dreling dreling à mon interphone : c’est le recensement. J’ai déjà été recensée hier ou quasi. Ah non, j’avais les filles à la maison… Enfin Delphine. Deux fiches à remplir en plus du reste… Bref c’était hier et le temps qui passe, je supporte de moins en moins…

J’ouvre, peu encline à parlotter quelque peu. Il faut dire que j’ai revêtu ma tenue de combat pour que quand j’écris (il n’y a pas que le blog hein !), et que là dedans, je ferais fuir un commando de terroristes (ce qui est tout de même un point positif). Donc, je passe juste la tête, je récupère les papiers avec le sourire, et au revoir madame (21 H la pauvre, j’aurais pu être madame Vampire et dormir…)

Je pose les papiers sur le bureau à côté de Mr Mac, au sujet duquel, je vous le signale puisque personne ne s’en inquiète, je recherche toujours les disquettes… Il y a une quatrième dimension quelque part dans mon appartement, ou alors elles me crèvent les yeux.

Et puis, allez-vous le croire ? J’oublie les papiers du recensement.  J’oublie qu’elle repasse le mercredi.

Ca me revient quand elle bipppppe à l’interphone. MERDE, c’est mercredi, c’est la recenseuse, et je n’ai pas rempli les papiers (comme c’est étrange).

Je décroche.

  • Oui bonjour madame Dabra née Abraca (elle sait tout sur moi en plus), c’est le recensement…
  • Je respire un grand coup
  • Je prends ma petite voix, mais pas trop de petite fille, j’ai précisé que je vivais seule. Une voix de jeune fille quoi. Je fais ça très bien, on me dit toujours « mademoiselle » au téléphone…
  • « maman n’est pas là et je ne sais pas où sont les papiers » (horrible garce immonde que je puis être)
  • Ah bon, je repasserai samedi

Samedi même topo. Je n’arrête pas de regarder les papiers à remplir, mais j’ai autre chose à faire. Ca sonne à 21 H. Faut pas pousser tout de même ! (pauvre femme)

  • « Maman est à l’hôpital pour une appendicite aigüe (je ne risque rien, j’ai déjà donné)
  • « Ah mon dieu, pourvu qu’elle aille mieux »
  • « Oui elle va beaucoup beaucoup mieux » (horrible garce indigne)
  • « Mais je dois lui emmener les papiers à remplir sur son lit d’hôpital » (même pas de qualificatif pour ça) « et je vais les déposer à la mairie, à l’état civil, comme elle m’a dit »
  • « C’est parfait ma petite fille, je ne repasserai donc pas » OUF.

Comme j’ai tout de même une conscience civique, j’ai bien rempli les papiers pour le recensement (7 minutes, c’était bien la peine de remettre au lendemain).

Fallait que ça merde de toutes manières.

Je me suis retrouvée le même jour avec : une enveloppe de chèques à déposer à la banque impopulaire pour ma boîte, et mes papiers dûment remplis pour le recensement, destinés au service d’état civil de la mairie.

La Banque Impopulaire et la mairie sont face à face. Vous sentez le gag, et distraite par un article que j’écrivais dans ma tête je n’ai pas fait attention (le premier qui dit « comme d’habitude » s’en prend une…).

Car j’ai mis « mairie, état civil, recensement » dans la boite aux lettres de la banque impopulaire et inversement. Je l’ai su car la mairie a bêtement téléphoné à la boîte en tombant sur moi, en me demandant quoi faire de l’enveloppe destinée à la banque impopulaire. J’ai suggéré à la dame qu’elle traverse la rue pour mettre l’enveloppe dans la bonne boîte : elle m’a remerciée de mon excellente idée…

Mais bon, ça c’est bien passé, la banque impopulaire a eu ses chèques en temps et en heure. Banque que j’ai appelée en lui signalant ma bévue qui était déjà réparée, puisqu’ils étaient allés mettre l’enveloppe dans la bonne boîte (sans suggestion de ma part)

Parfois je me dis que moi, on dirait ma mère…

Et que la vie n’est qu’un long calvaire…

Mais surtout que la vie n’est qu’un long calvaire.