Eric s’installa très rapidement dans nos vies, aux sons mille fois répétés de ses hurlements et donc du 33 tours qui le calmait immédiatement. Il ne monopolisait jamais que 5 personnes (quand j’étais là) pour le surveiller. Et encore, moi j’avais la ressource de retourner chez moi (juste à côté, d’où l’on entendait parfaitement les comptines suédoises) et j’échappais aux repas, mais les autres étaient piégés, coincés (vermifugés)… Continuer la lecture de « L’éducation à l’américaine (3) (ou l’ange blond) »