Un grand merci à la Méchante !

Nouveau look, moins rose, nouvelle disposition, nouveau blog, pour une année qui commence (pour moi).
Bienvenus dans mon nouveau chez moi !

Edit : les gentilles critiques sont acceptées, sachant que la méchante vit à 200 à l’heure. Je ne veux donc absolument pas qu’elle sente une quelconque pression, elle fera ce qu’elle peut quand elle le pourra, « à l’occasion ». D’un autre côté nous avions discuté de ces transformations, le problème étant que d’un écran à l’autre, l’apparence change (couleur, motifs…) et qu’il est difficile de satisfaire tout le monde !

Il y croyait… 11 novembre 1918 – 8 mai 1945

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Il y a eu un jour 3 frères très proches, qui s’adoraient. Une enfance de rêve malgré la tourmente passée et celle à venir.

Des enfants de la soeur de Louis, pas d’Alphonsine. Des enfants de Léontine.

Des garçons. A une époque la famille côté maternel pour moi, ne savait fabriquer que ça. D’ailleurs de tous les côtés, il n’y avait que cela : des garçons.

Et les cris ont commencé bien avant 1940. Les hurlements de 3 hommes juste adultes et pas d’accord du tout du tout. Léontine en tremblait dans sa chambre de ses fils s’insultant tout à coup, se détestant, chacun étant certain de détenir la vérité.

Il y avait l’aîné qui avait gardé une jambe raide depuis la guerre d’Espagne à laquelle il avait participé de son plein gré, soutenu par le petit dernier et un silence poli de la famille. Il y a des silences OUI et des silences NON, c’est ainsi dans la vie… Là, le silence poli c’était « oui » et il se savait totalement soutenu.

Hurlant plus fort que les autres :  le cadet, résolument pour la grande Allemagne, une Europe déjà, promise pour un Reich de 1000 ans.

Alors ça gueulait tous les soirs,  l’aîné obligé de se servir d’une canne pour marcher et menaçant le cadet avec, le petit dernier étant admiratif, et l’autre criant au boiteux qu’il avait choisi le mauvais camp, qu’il boitait pour rien, pour du faux, que l’avenir était dans la dictature, l’ordre strict, l’épuration ethnique. Alors cela hurlait encore plus. Et entre frères c’était la haine. Il y en avait toujours 2 ou 1 qui manquaient pour le dîner sacré du soir, ils avaient pu juste s’entendre sur ce point très particulier.

Et Léontine en était malade, chaque soir. Son mari, grand blessé de 18 n’entendait quasiment pas, sauf le mot « allemagne » qui lui déclenchait des crises d’épilepsie. Ses fils attendaient que lui, dorme enfin, avant de s’affronter, comme 3 fauves, dans l’arène du salon familial, la haine aux yeux, la voix rauque, les muscles gonflés prêts à servir pour du vrai…

Son opinion, le cadet l’a tenue jusqu’au bout du bout, du tout.

Il est vrai que pour toute la famille, être rentré dans la résistance ou être resté neutre (il n’y avait que peu de héros finalement, sauf Robert Benoist (ICI)) était le mieux que l’on puisse faire. Mais il était seul contre tous. Peut-être que cela a été une vraie motivation. En tous cas il avait choisi son camp en étant sincère. Il y croyait. C’est ce qu’il a dit à sa mère avant d’être fusillé en 1944. A une époque tellement troublée qu’on ne sait pas qui avait tort ou raison.

Il y croyait vraiment, aux forces mauvaises des juifs, aux races inférieures, à l’horreur des francs maçons. Il le pensait vraiment que les allemands se battaient pour du pur. Il voyait vraiment les bolchéviques sur le sol français. Il oubliait tout simplement que des francs-maçons, il y en avait beaucoup dans la famille et qu’ils ne voulaient de mal à personne, sauf qu’ils ne lui ont pas, au moment crucial,  pardonné de trahir leur camp car rien n’est neutre dans les temps troublés. Tous les francs maçons de la famille se sont élevés contre lui, se sont révoltés contre une image fausse d’eux qu’il renvoyait. Juste comme ça, juste avec des attitudes, des négations bien montrées, sans rien de plus. Eviter de lui parler, faire celui qui ne l’a pas vu, pour ne pas répondre à une provocation, pour oublier de l’inviter à un anniversaire, une fête de famille.

Il oubliait et reniait tout, parce qu’il y croyait vraiment.  Il avait été avalé par la doctrine, subjugué par la grande Allemagne. Il revivait l’ancienne guerre à sa manière. Mais il y croyait et se sentait tellement seul chez les siens, qu’il a trouvé une autre famille.

Il n’a pas reculé devant ses vraies croyances. Disparaissant devant ses frères pour tout de même ne pas trop en savoir et ne rien avoir à dire, il a été un collabo actif, avant d’entrer dans la milice, sa vraie famille désormais,  avec au coeur, l’idée qu’il avait raison. Il y a cru jusqu’au bout.

Toute la famille, même ses frères, ont eu tout de même de l’admiration pour lui, jusqu’au bout. Parce qu’il s’était battu pour un idéal auquel il croyait. Pour la famille c’était important, même si tout le monde pensait qu’il se trompait, et qu’en se trompant, il avait approuvé trop d’horreurs qu’il appelait des erreurs.

Beaucoup de ses proches se sont détournés de lui. Pour aller le voir en prison, juste avant son exécution, il n’y a eu que sa mère (mais une mère reste une mère, et la résistance l’a laissée passer),  le benjamin qui pourtant s’était battu de l’autre côté du miroir, donc on l’a laissé passer également. Pour s’entendre dire : « tu t’es trompé ».

Et un oncle grand maître d’un ordre qui lui a tendu la main de la franc-maçonnerie en se refusant de juger, restant fidèle lui aussi à lui-même et à ses croyances profondes. L’aîné avait disparu avec sa canne dans « nuits et brouillards » pour revenir en 1945, mais tout le monde disait qu’il serait allé malgré tout voir son frère, la veille et le jour de son exécution. Il l’a confirmé en rentrant, fantôme survivant au bout du compte et au bout des erreurs de son frère.

Et celui qui croyait a répondu, fidèle en ses croyances : « non c’est vous qui vous trompez… Moi j’y croirai jusqu’au bout ».

« Pourquoi papa n’est-il pas venu ?, pourquoi ne m’a-t-il pas écrit ? ».

Le père, mutilé de 18, avait renié son fils, mais « faisait » comme s’il ne s’en rendait pas compte. L’a-t-il regretté ? nous ne le saurons jamais. Sans aucun doute a-t-il entendu de loin la salve, tueuse de la chair de sa chair et en a-t-il été anéanti. Car il n’était pas loin du lieu d’exécution en ce petit matin blême où celui qui croyait ou n’y croyait pas, a refusé qu’on lui bande les  yeux pour affronter ses bourreaux, tous ceux qui se trompaient…

Parce que le fils croyait, lui, qu’il avait raison et ne s’était pas battu inutilement… Qui peut accepter de s’être battu pour rien ? Qui meurt pour rien ?

Il y croyait, tout le monde s’en souvient. L’oncle grand maître a décrété que chaque opinion est valable quand elle se vit jusqu’au bout et qu’il n’y avait pas à renier le sang de son sang. Jamais il n’a dit quoi que ce soit contre le sang de son sang, contre une pensée réellement sincère, même si, nous l’avons compris bien après, cela avait dû lui peser.

Mais dans la famille, cette foi obstinée  faisait penser aux inquisiteurs de jadis. Eux aussi pensaient qu’ils avaient raison.

Où est la vérité ? Quand tout bascule autour de nous ?

Il n’avait pas de tombe, alors les franc-maçons de la famille honnis par lui, lui ont érigé un petit mémorial, quelque part dans la forêt, à un endroit que seuls ceux qui ont du coeur et connaissent l’histoire familiale peuvent retrouver.

Curieusement, ce mémorial n’est pas loin de l’endroit où Madeleine a choisi d’en finir.

Destinée ?

Il n’a pas su, le 8 mai 1945, qu’il faisait parti du camp des perdants, il s’était déjà anéanti dans la terre d’une fosse commune, avec toujours la foi chevillée au corps, la certitude d’être une victime… Alors que le monde d’après le 8 mai 1945 faisait de ses frères les vrais héros.

Et qu’on nous épargne à toi et moi si possible très longtemps, d’avoir à choisir un camp.

Je sais que certains m’en voudront de rendre hommage à un homme qui avait tout faux et que d’autres en profiteront pour venir me dire que ce post rend enfin hommage à la vérité. Je les mets tous dans le même panier : allez voir ailleurs… Ce blog n’est pas politique mais juste le reflet de vies ordinaires…

Le cadeau d'amour de ma méchante…

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Pour ceux qui ne suivent pas le blog de ma méchante, qui est à l’origine du mien, à l’époque où elle faisait ses études de design à l’école Boule, elle a créé un cadeau d’amour, valable pour la St Valentin, et éventuellement la fête des mères.

L’historique est ICI.

Si elle rend hommage à son fiancé et à sa soeur pour leur abnégation relative aux séances photos, elle ne raconte pas tout.

Loin s’en faut…

N’allez pas imaginer qu’après avoir eu sa réelle brillante idée, elle l’a expérimentée dans sa chambre de bonne. Le gentil s’y serait formellement opposé, car si vous l’ignorez, je vous l’apprends : c’est lui qui fait le ménage.

Non, elle avait un endroit tout trouvé pour faire ses expériences, avec ses ballons, son plâtre (mais pas les fleurs, elle devait voir cela avec un fleuriste plus tard) : chez ses grands parents, mes parents.

Je suis donc arrivé un dimanche, sachant ma fille et le gentil présents, et posant the fatal question : « où est Pulchérie » ?

  • « Sur la terrasse » m’a dit ma mère. « On se demande où elle va les chercher »
  • « Quoi » ?
  • « Ses idées ».

Comme j’ai toujours entendu cette phrase fatale concernant mes filles, un peu plus souvent pour Pulchérie que pour Delphine (quoique…), je ne me suis pas alarmée outre mesure, et je suis allée dire bonjour à la terrasse sur ma fille, ou l’inverse, je ne sais plus.

Je suis bien arrivée : un ballon sur 2 explosait en pulvérisant du plâtre non coagulé partout, et là c’était celui qui explose. Je me suis donc retrouvée entièrement mouchetée, mais à côté de l’état de  la terrasse et de ma fille criblée de dettes d’éclats de plâtre, c’était de la petite bière, je n’ai donc pas protesté. A quoi bon d’ailleurs, même ses grands parents avaient renoncé… Sauf à lui faire nettoyer la terrasse après, à ce sujet ils étaient très justement intransigeants.

Elle m’a expliqué ce qu’elle faisait en se marrant, blanche de la tête aux pieds, en continuant à gonfler des ballons, y verser du plâtre, secouer le tout pour faire un oeuf creux (à l’intérieur), démouler les oeufs en coupant juste au bon moment le caoutchouc du ballon pour dégager l’oeuf en usant toutes les lames de rasoir de Jean Poirotte, etc…

Le tout, hilare et ravie de sa bonne idée (et je trouve toujours l’histoire du cadeau d’amour vraiment géniale)… DONT JE PERSISTE A DIRE QU’ELLE DEVRAIT LA FAIRE BREVETER (ces mères, quels furoncles !)

Bref, les oeufs en plâtre étaient bien trop fragiles pour voyager, et Pulchérie à demandé à Mrs Bibelot ce qu’elle devait en faire :

  • « Mets les moi dans un joli panier ma chérie, y compris les plus gros éclats des oeufs cassés, c’est chaaaarmant« . Ton faussement distrait…

Personne ne s’est méfié, pas même ma fille qui pourtant possède une imagination diabolique, mais Mrs Bibelot avait sa petite idée, et a rangé soigneusement 3 paniers pleins d’oeufs intacts ou « éclos ».

Car, fabriqués avec des ballons plus ou moins gonflés, les oeufs intacts ressemblaient à s’y méprendre à des oeufs de dinosaures. Enfin tels qu’on se les imagine hein ! parce que si la famille a de vieux souvenirs, sur Jurassic Park on sèche un peu…

Mrs Bibelot ne séchait pas elle. Elle a gardé 2 ou 3 oeufs pour le souvenir, et est allée subrepticement, en ricanant, à la nuit tombante, déposer des oeufs « éclos », ça et là, dans sa ruelle, devant des portails divers, limite en semant dans tout le village, ayant poussé le vice jusqu’à mettre du vrai jaune d’oeuf dans certaines coquilles pour faire totalement authentique.

Elle est allée jusqu’à mettre deux oeufs « éclos » dans le jardin d’amis en « allant prendre l’air » avant le dîner, attendant en rigolant doucement les retombées du cadeau d’amour que Pulchérie n’avait pas prévues…

Pour sûr, quelqu’un allait s’inquiéter de la taille du piaf ayant pondu l’oeuf, et du marmot en étant sorti…

Silence radio sur le résultat. Elle n’a jamais osé appeler le centre ornithologique du secteur en prétendant naïvement avoir trouvé de drôles de coquilles dans son jardin. Chou blanc.

Et même pas entendu sa voisine directe, très conne, hurler « chériiiii au secouuuuurs, viens voiirrrr, y’aaaa un monstre qui a pondu chez nouuus ».

Elle le regrette… Faut dire que Pulchérie aurait pu, dans la foulée, inventer des plumes inquiétantes, cela l’aurait bien arrangée (ma mère).

Et ne me demandez pas s’il y a des originaux dans la famille…

Ne rêvez pas, vous n'y couperez pas !!!

72131201Alors je vous préviens : je vais rouspéter une fois de plus. Certaines mauvaises langues oseront prétendre que je râle tout le temps et que je ne suis jamais contente, elles n’auront qu’aux 3/4 tort (parce qu’il m’arrive d’être contente).

Nous vivons dans un monde en pleine évolution.

C’est simple, la couche d’ozone évolue, les virus mutent, la banquise évolue, les prix évoluent, la taille de l’homme moderne évolue (enfin dans les pays riches, dans les pays pauvres elle stagne, mais les pauvres y mettent toujours de la mauvaise volonté). L’homme évolue toujours également et vous serez ravis d’apprendre qu’un jour proche, nous naîtrons sans ongles aux petits orteils. Je suis certaine que cette nouvelle vous remplit d’allégresse.

Je ne vous fais pas la liste de ce qui régresse, j’aurais peur de vous mettre de mauvaise humeur en évoquant vos économies ou votre compte en banque.

Donc la cuisine évolue également. Entre ma jeunesse et maintenant, il y a un gouffre insondable. Mais la question n’est pas de débattre des arômes artificiels, des colorants et conservateurs cancérigènes peut-être.

Je parle des menus.

Quand j’étais petite, en mai/juin, si mes parents recevaient, il y avait des asperges à la sauce hollandaise, du gigot, et des bananes flambées au dessert. Puis Mrs Bibelot grâce à une amie pied noir, a introduit le couscous dans ses spécialités, avant la paëlla qu’elle avait appris à faire dans un cours de cuisine. C’était audacieux. On respectait encore les menus d’avant qui comprenaient la tête de veau ravigotte, la langue, le brochet au beurre blanc, les ris de veaux,  les rognons sauce madère, etc…

Maintenant les jeunes ne connaissent plus ces mets pourtant délicieux. Disparaîtront-ils ?

Quand je recevais avec Albert, c’était la grande vogue des terrines : terrines de légumes, de poisson, pains de viande. Et puis la raclette est apparue, l’antique, pour 4 maximum parce que l’on raclait réellement le fromage.

La raclette restait soft : fromage, viande des grisons, pommes de terre au four, cornichons. Maintenant si vous ne mettez pas des oeufs de caille à faire au plat sur la plaque du dessus, du bacon, de la viande hachée, toute la charcuterie possible et imaginable, vous méritez le titre de l’hôte le pire du monde (sauf au Rwanda).

Pour les desserts : charlottes multiples, nougats glacés, profiteroles, et l’inévitable crème brûlée. Nos menus évoluaient. Il y a eu le chinois, le japonais et ses sushis, alors que d’antiques recettes tombent désormais dans l’oubli…

Actuellement, 2009 et depuis 2008, vous ne couperez pas à la verrine.

Elle est incontournable. Vous n’avez pas ce qu’il faut chez vous ? le knout !

Verrine à l’apéritif, en entrée, en dessert. Personne n’a réussi à y faire rentrer du gigot flageolet, mais un petit malin va trouver, c’est certain.

Je ne dis pas que c’est mauvais. Une mousse d’avocat avec 3 crevettes c’est joli et présentable. Moi j’aime autant 1/2 avocat avec plus de 3 crevettes, mais c’est parce que je suis une râleuse.

Idem pour le dessert : au lieu de faire un tiramisu avec des biscuits ou spéculos, pour ne pas s’emmerder à tout démouler, on met tout dans une verrine et tant pis pour l’oncle Albert qui adore terminer le gâteau quand tout le monde cale.

Fait maison, j’admets tout à fait, sauf que parfois le cuisinier s’est vraiment compliqué la vie avec ses verrines. Mais à l’achat, tout fait, chez un traiteur ou en grande surface en cas d’urgence, c’est de l’arnaque pure et dure quand on regarde le prix au kg. Car la taille des verrines parfois c’est limite le verre à liqueur que si je les emprunte à Mrs Bibelot, elle va me regarder d’un drôle d’oeil…

Vous le savez, je ne suis pas TV réalité. Une seule exception, étant au chômage et au bord de l’anorexie (mais non les filles, je rigole), je regarde « un diner presque parfait ». Cela me semble nettement moins truqué que le reste, on y pioche de bonnes idées de décoration, et de bonnes recettes.

Là également, la verrine est incontournable. Celui qui a tout réussi, sans verrine se verra sanctionné par un 6/10, même si sa cuisine était 100 % parfaite, de l’avis général.

C’est quand le prochain truc incontournable en cuisine ? Le retour au moyen âge ?

Ce serait marrant !

Aujourd'hui c'est la fête du travail…

Donc, comme je suis au chômage, je vais bosser.

Enfin je vais essayer d’actualiser ma situation sur pole-pas-d’emploi.fr, qui va juste être débordé par les nouveaux chômeurs d’avril venant s’inscrire, et tous les autres venant s’actualiser.

Et c’est du boulot, moi, je vous le dis.

Alors soyez sages pendant ma courte absence, si vous allez au muguet :

  • Ne piétinez pas les pousses vertes
  • Ne ramassez pas les brins verts
  • Ne hurlez pas
  • Faites attention aux animaux sauvages
  • Particulièrement aux sangliers carnivores…
  • Enfin bref, respectez la forêt…

Bonne fête du travail à tous !

Edit du soir (espoir) : ça s’est passé comme sur des roulettes, en 5 minutes c’était torché et j’ai même reçu mon accusé réception de déclaration dans la foulée. Je suggère donc que tous les 1er du mois soient fériés, avec ou sans muguet.