PB box stop
Reviens vers le 7 stop
Bizz
Edit de ce soir : un grand merci pour vos gentils commentaires, je vous raconterai plus tard, mais je suis enfin à nouveau connectée !
PB box stop
Reviens vers le 7 stop
Bizz
Edit de ce soir : un grand merci pour vos gentils commentaires, je vous raconterai plus tard, mais je suis enfin à nouveau connectée !
Je n’ai pas eu le coeur de mettre une vraie photo de famille, c’est trop frais pour moi… (et puis il me faut être honnête, il faudrait que je cherche…) 🙂
Papa a pas mal de cousins/cousines, particulièrement du côté de Mrs Tricot (5 cousines, 1 cousin), ce qui avait beaucoup surpris Delphine, qui le jour de l’enterrement de son arrière grand-mère, n’arrêtait pas de dire « encore une cousine de Papyyyy ? ».
Du côté paternel, il n’avait qu’un cousin, fils du frère ainé du prisonnier, qui avait 6 ans de plus que lui (le cousin, il faut toujours tout préciser, sinon on est vite incompris, ce qui n’est pas étonnant vu que parfois on se trompe nous-mêmes).
Autant j’adorais mon grand-oncle qui ressemblait trop à mon grand-père adoré, autant j’ai toujours été un peu réticente concernant sa femme (comme tout le reste de la famille d’ailleurs, il y a des trucs qui ne s’expliquent pas). Elle avait je ne sais quoi de trop guindé, de trop m’as-tu vu et surtout une voix à souhaiter être sourd… Comme elle l’était (sourde) elle criait très fort, ce qui rajoutait au non confort…
Mon arrière grand-mère vivait avec son fils ainé et sa bru. J’aimais beaucoup mon arrière grand-mère que l’on appelait « mémé Dabra » (il a fallu sa mort et un certificat de décès pour découvrir son prénom), mais force est de devoir reconnaitre que dans la série « furoncle« , elle se posait là.
Un exemple très marquant : à la naissance de son premier petit fils, pour une raison que nous ignorons et ignorerons donc toujours, c’est elle qui est allé déclarer l’enfant à la mairie. Les parents voulaient l’appeler Marc, mais comme ce prénom ne lui convenait pas, elle en a choisi et imposé un autre.
C’est celui-là qui servira, comme une revanche, sur mon blog.
Ma belle-mère m’aurait fait un coup pareil, je vous écrirais du fond d’une geôle, ayant été condamnée à perpétuité pour meurtre aggravé… (préméditation, passage à l’acte pour donner la mort en ayant vraiment l’intention de la donner, avec barbarie, et j’en passe…). Pulchérie aurait été élevée par son père et Delphine ne serait jamais née…
Ou bien Pulchérie aurait atterri chez mes parents, parce que je ne pense pas qu’Albert m’aurait laissée commettre mon forfait toute seule dans ce cas précis…
Faut être con aussi, ils n’avaient qu’à appeler leur fils comme bon le leur semblait. Le prénom d’usage est autorisé en France… Mais la grand-mère en avait décidé autrement, et il fallait bien la boucler à ce sujet.
Le grand oncle François était un brave homme qui vivait donc entre sa mère et sa femme et leurs querelles de ménage fréquentes, en la bouclant.
J’ai toujours admiré les femmes qui arrivent à la faire boucler à leurs fils, pères, maris, et j’en passe encore. Finalement j’aurais peut-être dû prendre l’option « furoncle« , cela leur réussit souvent… Finalement, le surnom on s’en fout…
D’un autre côté la grand-tante Yéyette trouvait bien pratique d’avoir chez elle sa belle-mère qui faisait bonne d’enfant, cuisinière et femme de ménage, ce qui lui a permis de se faire une très bonne situation à ce qui s’appelait encore « la Sequanaise » (plus connue maintenant comme UAP) (où le prisonnier a fait sa carrière lui aussi…) terminant sa carrière comme chef de service (comme le prisonnier).
L’accouchement s’était mal passé, terminé par un forceps qui avait amoché le môme, en ce qui concerne la mère on n’en parle même pas, elle ne pouvait plus avoir d’enfant, car vu le massacre, un chirurgien compatissant lui avait tout retiré, ce qui ne l’avait pas spécialement aigrie, car de toutes manières, elle ne voulait pas plus d’enfant que ça (précision importante sur le fait qu’elle soit aigrie), Marc étant un accident de 1932 où la contraception n’existait quasiment pas…
Là commence l’histoire qui s’appelle depuis longtemps « l’enfer est pavé de bonnes intentions ». Car un nouveau médecin, aux 3 ans de Marc, déclara qu’il était très possible avec une rééducation poussée, mais difficile, de lui donner un usage normal de sa jambe gauche et de son bras gauche, atrophiés car il ne pouvait pas s’en servir, la zone du cerveau touchée par le forceps commandant ces deux membres. Ou alors on nous aurait menti et il y avait autre chose, là encore on ne saura jamais.
Le médecin spécialiste déclara que l’on pouvait mobiliser d’autres zones du cerveau avec la rééducation. Le paterning n’était pas encore inventé, mais cela viendrait, cela débutait doucement…
Mais les deux femmes, pour une fois d’accord, décrétèrent que non, que ce serait trop dur pour ce pauvre petit, et la rééducation (trop difficile pour ce pauvre innocent) fut rapidement arrêtée. On changea de médecin.
Et pendant ce temps là à Caracas l’oncle la bouclait toujours… Avoir un fils handicapé ne devait pas particulièrement le déranger. Le prisonnier haussa les épaules et déménagea à Versailles, au cas sans doute où sa mère déciderait de venir s’installer chez lui un beau jour…
L’enfant pourri gâté et surprotégé fut embauché un beau jour dans la société de sa mère et de son oncle, et y fit une belle carrière.
Comme il était handicapé, il vivait toujours chez ses parents, ne dépensant pas un radis, amassant ses salaires, sans jamais contribuer ne serait-ce qu’à son propre entretien.
La tante Yéyette jusqu’à sa mort, aimait décrire à son beau-frère et sa belle soeur, puis à sa seule belle-soeur le patrimoine de Marc qui ne faisait que s’arrondir, sans jamais voir que son fils était d’une radinerie anormale. Ni que le fait d’avoir toujours été adulé et couvé, ne lui avait pas forgé un caractère particulièrement agréable…
Il faut chercher l’origine du mot « aimable » pour lui donner tout son sens…
Depuis que mon grand-oncle et ma grand-tante étaient à la retraite, ils s’étaient installés non loin d’Epernon dans leur maison de campagne, et nous allions régulièrement les voir, une fois par trimestre. Eux-même, le jour du marché de Rambouillet, passaient souvent nous faire un petit coucou le samedi à l’heure de l’apéro. C’était la famille et cela se passait plutôt bien. Nous étions invités chez eux et vice et versa.
Depuis que j’étais petite, j’adorais d’ailleurs, quand nous étions invités chez eux, à Saint Denis puis à Epernon, car même après la mort de l’arrière grand-mère, il y avait toujours au moins 7 desserts. C’était la première chose que l’on nous montrait à nous les gosses : la table cachée recouverte de desserts.
La tante Yéyette n’avait pas que des défauts : elle était fine cuisinière, savait recevoir et se montrer agréable de temps à autres.
Je jouais beaucoup avec une petite nièce de la tante Yéyette, surnommée Sissi.
La tante Yéyette avait en effet un neveu de sa soeur, et ne cachait d’ailleurs pas que si Marc venait à mourir sans héritier, ce serait son neveu qui aurait TOUT. Cela ne nous choquait pas particulièrement, car ils étaient tous trois beaucoup plus proches de la famille de Yéyette que de celle de François (le prisonnier allait voir sa mère, puis, après sa mort, son frère, en douce, c’est dire tout de même en quelle estime il tenait sa belle soeur, et son neveu…).
Puis le grand-oncle nous quitta. Ce fut la première fêlure. C’est par le cousin de l’autre côté, que papa appris que son oncle était mourant, et il en voulu à sa tante et son cousin de ne même pas lui avoir appris qu’il était gravement malade, et que cela avait galopé. Il vit donc son grand-oncle dans de pénibles circonstances, deux jours seulement avant son décès.
Un homme qui n’était que douleurs et souffrances (cancer des os) à qui on refusait de la morphine pour ne pas qu’il en devienne accroc (alors qu’il était en fin de vie…) . Papa rentra ce jour là en refusant de dîner et en nous faisant jurer qu’on ne lui ferait pas cela et je ne sais pas ce que nous avons signé (moi surtout, car j’avais le malheur d’être présente) : peut-être de l’achever avec un fusil de chasse, et en garda rancune à son cousin, pouvant encore excuser sa tante de ne pas avoir pensé à avertir tout le monde.
Le jour de l’enterrement, il était sombre, songeant à la dernière vision qu’il avait eue de son oncle : de la souffrance, de la souffrance, encore de la souffrance, et toujours de la souffrance. Comment était-ce possible ? Son oncle réclamait la mort et ne l’avait même pas reconnu.
Puis la grand-tante 15 ans plus tard, parti à son tour, dans des circonstances un peu douteuses (son neveu soupçonnant qu’il y avait maltraitance sur elle, mais ne faisant rien, et n’en parlant qu’après), et là, la fracture a eu lieu.
Jean-Poirotte qui ne s’était jamais entendu plus que ça avec ce cousin là, de 6 ans son aîné et peu aimable, avait tout de même à coeur de lui téléphoner deux fois par an, quand il en avait marre d’entendre Mrs Bibelot lui dire « tu pourrais prendre des nouvelles de ton cousin tout de même ». Inutile de préciser lequel, avec les cousins de l’autre côté, le lien ne s’était jamais rompu…
Puis à une période de vaches maigres pour lui, en plaisantant, il déclara à Marc « tu pourrais m’appeler toi aussi de temps à autres, ou passer nous voir », et l’autre, plein aux as, rétorqua que ce n’était pas possible, car le téléphone et l’essence, c’était la ruine…
Papa avait raccroché en disant des mots que la décence m’empêche de répéter, assortis d’un « et bien qu’il ne compte pas sur moi pour le rappeler un jour ! ». Personne ne moufta et jai expliqué aux filles, la généalogie de la famille pendant que leur grand-père fumait de la tête…
Dans l’épisode 2 vous comprendrez pourquoi je regrette de temps à autres, de ne pas avoir choisi l’option « furoncle ».
La vie n’est qu’un long calvaire…
Soit ce sera mon dernier jour, puisque j’aurais commis un crime horrible devant être puni de mort ( je ne rigole pas).
Soit je pourrais vous raconter dès le 29, pourquoi la vie n’est qu’un long calvaire…
Je m’en vas à un enterrement, pour peut-être réaliser le rêve de tous ceux qui courent après le temps pour en gagner : mourir dans un cimetière étant le top…
BRRR. Et les filles qui ne seront pas là pour mes dernières volontés… (Pulchérie n’ayant jamais particulièrement pointé du doigt un truc qu’elle aimerait bien avoir, et Delphine voulant tout ce que j’aime ou ai aimé, je le sens bien simple ce coup là…)
Vous allez me demander pourquoi j’y vais (à l’enterrement) et alors je précise que c’est justement parce qu’on m’a dit que j’y risquerais peut-être ma vie que du coup, et bien j’y vais tout de même…
Et forcément, toute la famille qui n’est pas la bienvenue, y ira AUSSI ET SURTOUT !
Parce qu’il y a comme un air de famille qui va jouer, et que du coup, et bien cela fait plaisir de ne pas se sentir isolée… (quand je pense que l’air qui va suivre, je savais le jouer, les yeux fermés, jadis…)
1984 : année de naissance de Delphine… C’est là que j’ai commencé à aimer France Gall…
Je suis en train de vous mijoter deux ou trois posts sur des trucs horribles, au sujet desquels j’hésite à créer une nouvelle rubrique. (Les trucs horribles de la famille qui ne manque finalement jamais de ressources, surtout quand elle est un peu lointaine…)
Pour vous faire patienter, quelques bonnes citations envoyées par un lecteur (Philippe Bertrand).
Les citations sont de Marc Escayrol.
La vie n’est qu’un long calvaire et vous allez souffrir (voir l’introduction)…
Je vais relayer les chaînes d’info, au cas où vous seriez passé à côté de cette information importante : la France est en proie à des chutes de neige…
En plein mois de janvier on rêve tout debout…
Et on ne parle que de ça…
Lu aujourd’hui dans « le Parisien » de Mrs Bibelot, cette intéressante question posée à un météorologue : « comment expliquez-vous cet épisode hivernal ?« .
Il y a deux personnes qui méritent une médaille : celui qui a posé cette question très conne, et celui qui a répondu sans broncher (du moins s’il l’a fait, cela n’apparait pas dans l’article)…
Bref il neige. Depuis plusieurs années nous sommes plutôt habitués à voir tomber cette fichue neige (mais comment se fait-ce ?) en novembre et décembre, mais là, c’est au coeur de l’hiver qu’elle s’est décidée. Quel scoop !
Longtemps j’ai adoré la neige, m’y promener, les batailles de boules, les gros bonhommes à faire en sacrifiant une carotte. La magie de la neige reste quelque part au fond de moi, car il n’y a pas à dire : un paysage enneigé c’est magnifique.
Malheureusement, à l’âge adulte, principalement quand prendre sa voiture tous les jours est obligatoire, la neige représente plein d’inconvénients :
Donc il neige. Cela occupe la moitié des infos du soir et du midi (et encore je regarde un journal court), et la quasi totalité des conversations.
Mes parents restent de marbre tout en salant leur cour, car ils n’ont pas envie de se prendre un gadin. Ils ont connu cela toute leur enfance, + celles de leurs enfants, car rares étaient les années sans neige qui reste d’ailleurs un des symboles forts de Noël… Mon père n’a d’ailleurs pas perdu sa manie d’aller mesurer l’épaisseur de la couche de neige toutes les deux heures (manie qu’il a refilé à un de ses petits fils).
Je ne suis pas plus surprise que cela non plus même si nous avons traversé des époques avec des hivers doux… Maintenant quand l’épisode neigeux arrive après décembre, tout le monde semble s’étonner. Mais cet épisode peut perdurer jusqu’en mars ! L’année de notre arrivée à Rambouillet (1974) nous avions eu 20 cm de neige pour le 14 avril.
Les filles petites, n’appréciaient qu’à moitié. Lors de l’hiver très enneigé de 1987/1988, j’étais la seule à me promener avec des martyres de la météo, qui hurlaient quand je voulais les faire descendre de la luge que leur père leur avait achetée, croyant leur faire plaisir (en fait, je tractais la luge, et j’y mettais les commissions car prendre la voiture dans le bled de l’époque se révélait impossible).
Puis, cela a changé, et elles ont fait des bonhommes de neige un peu partout, égarant ou mettant à mal des chapeaux, des écharpes, et même de vieilles perruques qui servaient à des déguisements, et qui n’ont jamais été retrouvées…
Delphine me téléphone ravie quand il a neigé à Paris, tout en me demandant de présenter mes condoléances au chat.
Car vous le savez, Sieur Filou déteste la neige : c’est froid et tout mouillé pour ses petits coussinets…
Moi ce que j’aimerais, c’est qu’on nous lâche un peu la grappe dans les médias. Un petit compte rendu, une petite alerte, et hop on passe à autre chose : le monde va si bien… Sauf que pendant qu’il neige on parle moins du chômage, de l’inflation et du reste…
Et j’aimerais aussi que la voisine du dernier étage, qui vit sur ses réserves, arrête de me seriner « qu’avec le réchauffement climatique finalement elle n’y comprend plus rien ».
La vie n’est qu’un long calvaire
(Photo de la sorcière, un petit zoom sur le petit bois derrière chez moi lonlère et tralala, il y a 5 ou 6 ans)…
Il y avait l’original, mais j’aime mieux cette version là…
All by myself
Merci à Monsieur Rachmaninov pour l’original…
La musique que l’on aime n’est jamais un long calvaire 🙂
A l’attention de certains que je ne nommerai pas, le 21 janvier (demain), est la date anniversaire de la mort de Louis XVI (je suis républicaine mais, il n’est pas inutile de rappeler ce jour (parce que je suis en train de faire la révolution en 5 leçons avec ma nièce en me bouffant les phalanges, et que je trouve quand même les manuels assez raccourcis (comme feu Louis XVI, mais ce n’est pas le débat du jour qui se doit d’être musical)…
Avant toute chose, si quelqu’un sait comment faire partir le commentaire qui figure sur l’image d’illustration, alors qu’avant NON, qu’il n’hésite pas à se faire connaître ! (il aura droit à ma reconnaissance éternelle…)
Cet avis de recherche étant bien visible, je vais vous parler des coups de vieux, tels que je les entends (enfin, ressens…)
Il ne s’agit pas de la première ride, ou du premier cheveu blanc qui fait parfois hurler certaines jeunes femmes…
Non, c’est plus subtil…
Pendant que BB faisait tout cela, il y a eu d’autres trucs…
C’est cela le coup de vieux. Le jeune homme qui se lève dans le train pour vous laisser sa place, alors que visiblement vous ne pouvez plus être en cloque. Ce n’est pas un cheveu blanc qui peut parfaitement se teindre…
Ou bien le jeune homme qui se précipite dessus pour vous agresser, comme si vous n’aviez plus la tête de quelqu’un capable de se défendre, parce que vous assumez vos 15 cheveux blancs.
C’est au choix…
La vie n’est qu’un long calvaire…
Eh bien non, ce n’est pas la fête vraiment.
Je m’attaque ici aux tics de langage dont nous souffrons tous. Une fois que nous avons mis le doigt dessus en fait, il n’est pas forcément facile de s’en débarrasser en fait, mais en fait, on pourra en venir à bout parce qu’en fait, le tout est de s’en rendre compte.
Il y en a un qui m’exaspère particulièrement depuis que je l’ai remarqué, c’est le : en fait… (pour ceux qui n’ont pas suivi du tout et rien vu !)
En fait doit normalement préciser quelque chose, mais l’emploi abusif que l’on en fait, en fait, m’exaspère car en fait, je n’entends plus que lui. (« En fait », lorsqu’il a un sens, correspond à une correction, une rectification, une mise au point. « Sourd, dites-vous ? En fait, légèrement dur d’une oreille. »)
Dans la moindre émission, le moindre JT, nous sommes submergés par le en fait, qui va faire qu’inconsciemment, nous allons l’utiliser nous aussi en fait, mal à propos et tout le temps en fait….
Il y a une décoratrice sur M6 qui en fait, me fait changer de chaine ou me plonger en fait, dans un bouquin, parce qu’en fait, elle m’énerve à un point pas possible parce qu’en fait je suis facilement énervée en fait.
Pitié ! ASSEZ ! La bibliothèque en fait, je m’en cogne totalement désormais et je ne saurai jamais comment on peut la faire moins moche qu’elle ne l’était…
EN FAIT J’EN AI MARRE EN FAIT…
Même le médecin conseil m’avait fait le coup en son temps :
Maintenant que je vous ai mis sur le bon chemin, comptez… Vous verrez, et cela vous sautera aux oreilles. Et en fait, c’est exaspérant !
C’est comme le carrément. Au lieu de dire OUI on dit carrément !
La vie n’est carrément en fait qu’un long calvaire… (et la langue française carrément en grand danger EN FAIT)
A quoi peut bien carburer la gentille sorcière ?
A part le litre de cognac, il y a ça, que j’écoute régulièrement depuis 2 mois…